Canot porte torpille 1887
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Canot porte torpille 1887
Dernière réalisation, un canot porte torpille de 1887.
Echelle 1/12ème soit un modèle d'environ 60 cm de long.
Présentation de la bête :
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Pour commencer, les plans sont redessinés en 3D (logiciel Rhino 3DM) afin d'obtenir l'ensemble des éléments nécessaires à la construction d'une forme en bois.
Une fois la forme bois construite, il faut mettre en forme les tôles (maillechort de 0.3 mm) ce qui n'est pas une partie de plaisir (surtout de la part d'un modélisme qui ne connait strictement rien en matière de tôlerie ...).
Aprés moults martellage et recuits divers, la fargue est mise en forme.
Aprés de nombreuses heures, le pont est enfin terminé.
On passe à la coque qui est traitée de la même façon à partir d'une forme bois (balsa).
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Les tôles sont mises en place de ma même façon ; martelage, recuit ... pour finir enfin le premier coté.
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Ainsi qu'on peut le constater, le résultat est trés décevant ; le maillechort, trop brillant doit être absolument maté, soit par sablage (trop complexe pour moi), soit par abrasifs type 3M CF HP du catalogue Otélo (ma bible) qui est censé garantir une finition mate.
En conclusion :
AU SECOURS !
Si ce topic vous intéresse, je vous tiendrai au courant
Echelle 1/12ème soit un modèle d'environ 60 cm de long.
Présentation de la bête :
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Pour commencer, les plans sont redessinés en 3D (logiciel Rhino 3DM) afin d'obtenir l'ensemble des éléments nécessaires à la construction d'une forme en bois.
Une fois la forme bois construite, il faut mettre en forme les tôles (maillechort de 0.3 mm) ce qui n'est pas une partie de plaisir (surtout de la part d'un modélisme qui ne connait strictement rien en matière de tôlerie ...).
Aprés moults martellage et recuits divers, la fargue est mise en forme.
Aprés de nombreuses heures, le pont est enfin terminé.
On passe à la coque qui est traitée de la même façon à partir d'une forme bois (balsa).
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Les tôles sont mises en place de ma même façon ; martelage, recuit ... pour finir enfin le premier coté.
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Ainsi qu'on peut le constater, le résultat est trés décevant ; le maillechort, trop brillant doit être absolument maté, soit par sablage (trop complexe pour moi), soit par abrasifs type 3M CF HP du catalogue Otélo (ma bible) qui est censé garantir une finition mate.
En conclusion :
AU SECOURS !
Si ce topic vous intéresse, je vous tiendrai au courant
H. MALLET- Messages : 357
Date d'inscription : 19/06/2012
Age : 73
Localisation : paris
Re: Canot porte torpille 1887
C'est impressionnant.
Je ne connais rien au travail du métal. Martellage, j'imagine, mais recuit? Quels sont le but et la mise en œuvre de cette technique? Les différents éléments sont soudés?
Le maillechort donne effectivement un aspect trop brillant, si je me réfère au satiné des modèles cuirassés du Musée. As-tu fait des essais sur chutes avec un brunisseur de métaux?
Intéressant ce topic? Passionnant convient mieux.
Je ne connais rien au travail du métal. Martellage, j'imagine, mais recuit? Quels sont le but et la mise en œuvre de cette technique? Les différents éléments sont soudés?
Le maillechort donne effectivement un aspect trop brillant, si je me réfère au satiné des modèles cuirassés du Musée. As-tu fait des essais sur chutes avec un brunisseur de métaux?
Intéressant ce topic? Passionnant convient mieux.
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Aimez-moi, honorez-moi, parce que je le vaux bien. (St Ignace de Loréal)
Alain Degny- Admin
- Messages : 25017
Date d'inscription : 14/06/2012
Age : 78
Localisation : Parisien exilé dans l'Oise
Re: Canot porte torpille 1887
Salut Alain,
Pour répondre à ta question, lorsque l'on martel du métal, celui ci durci et il devient moins maléable ; aussi et pour faire distingué "on procède à un recuit" ou plus simplement, on passe un coup de chalumeau jusqu'à ce que le métal devienne rouge cerise et on laisse refroidire lentement. Il redevient plus maléable.
C'est l'effet inverse de "la trempe" ou le métal chauffé au rouge est brutalement plongé dans un bain d'eau ou d'huile pour le refroidir ; le métal devient alors plus dur.
Concernant l'aspect brillant, je vais essayer, dans un premier temps de dépolir de maillechort avec un tampon de Scotch Brit + pourdre à récurer.
On Va bien voir !
Pour répondre à ta question, lorsque l'on martel du métal, celui ci durci et il devient moins maléable ; aussi et pour faire distingué "on procède à un recuit" ou plus simplement, on passe un coup de chalumeau jusqu'à ce que le métal devienne rouge cerise et on laisse refroidire lentement. Il redevient plus maléable.
C'est l'effet inverse de "la trempe" ou le métal chauffé au rouge est brutalement plongé dans un bain d'eau ou d'huile pour le refroidir ; le métal devient alors plus dur.
Concernant l'aspect brillant, je vais essayer, dans un premier temps de dépolir de maillechort avec un tampon de Scotch Brit + pourdre à récurer.
On Va bien voir !
H. MALLET- Messages : 357
Date d'inscription : 19/06/2012
Age : 73
Localisation : paris
Re: Canot porte torpille 1887
Bonjour
Peut-être
-1 : dentifrice plutôt que poudre à récurer ? ;
-2 : bannir scotch brite car les rayures seront trop profondes. Il
vaudrait mieux prendre un chiffon de grosse toile genre toile de jute ou similaire.
Dans tous les cas ne pas "doubler" les effets que peuvent avoir 2 abrasifs car
si "mal" il risque d' y avoir il sera multiplié par deux.
Amitiés. Luc
Peut-être
-1 : dentifrice plutôt que poudre à récurer ? ;
-2 : bannir scotch brite car les rayures seront trop profondes. Il
vaudrait mieux prendre un chiffon de grosse toile genre toile de jute ou similaire.
Dans tous les cas ne pas "doubler" les effets que peuvent avoir 2 abrasifs car
si "mal" il risque d' y avoir il sera multiplié par deux.
Amitiés. Luc
Albatros- Messages : 824
Date d'inscription : 16/06/2012
Localisation : Vendée
Re: Canot porte torpille 1887
Bonsoir
Basiquement, un coup de 400 à l'eau à tester sur une chute .. ?
Wilfrid
Basiquement, un coup de 400 à l'eau à tester sur une chute .. ?
Wilfrid
Invité- Invité
Re: Canot porte torpille 1887
Merci Hubert.
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Alain Degny- Admin
- Messages : 25017
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Age : 78
Localisation : Parisien exilé dans l'Oise
Re: Canot porte torpille 1887
Intéressant et sortant de l'ordinaire
@pluche
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Jean-Marc 83- Messages : 2830
Date d'inscription : 16/06/2012
Age : 58
Localisation : Var 83
Re: Canot porte torpille 1887
Là, je tombe dans du haut niveau !!!!
J'admire et je me tais !!!!!!!
J'admire et je me tais !!!!!!!
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Au lieu de regarder la baille qu'il y a dans mon oeil, regarde plutôt le boutre qu'il y a dans le tien.
frederic Ravinet- Admin
- Messages : 4983
Date d'inscription : 12/06/2012
Age : 68
Localisation : AMBOISE
Re: Canot porte torpille 1887
Bonjour Hubert
Bien sûr que ça nous intéresse, première question qui me vient à l'esprit en voyant ce début de post est, dispose tu d'un modèle graphique autre que le plan que tu nous montres?
Je dis ça en particulier par rapport à la finition de la coque sur laquelle tu fais apparaitre des joints creux horizontaux somme toute inhabituels. Je me serais plutôt attendu à voir de plaques de tôle rivetées.
Après tu indiques une échelle 1:12ème pour un modèle de 60cm de long soit un peu plus de 7m pour son grand frère, or le plan indique 12,5m?
Mes question sont peut être très bête mais je cherches simplement à comprendre
Autrement dernière question, visiblement le plan indique la torpille en position centrale avant, lâchée par le dessous, est ce bien ça?
Merci de tes réponses et comme dit je cherches simplement à comprendre (ceux qui me connaissent savent que je comprends très vite...si on m'explique longtemps )
Bien sûr que ça nous intéresse, première question qui me vient à l'esprit en voyant ce début de post est, dispose tu d'un modèle graphique autre que le plan que tu nous montres?
Je dis ça en particulier par rapport à la finition de la coque sur laquelle tu fais apparaitre des joints creux horizontaux somme toute inhabituels. Je me serais plutôt attendu à voir de plaques de tôle rivetées.
Après tu indiques une échelle 1:12ème pour un modèle de 60cm de long soit un peu plus de 7m pour son grand frère, or le plan indique 12,5m?
Mes question sont peut être très bête mais je cherches simplement à comprendre
Autrement dernière question, visiblement le plan indique la torpille en position centrale avant, lâchée par le dessous, est ce bien ça?
Merci de tes réponses et comme dit je cherches simplement à comprendre (ceux qui me connaissent savent que je comprends très vite...si on m'explique longtemps )
_________________
Bien cordialement
Stephan
...........................................................................................................................................................................................
Ce n'est qu'en essayant continuellement, que l'on finit par réussir
Ou, en d'autres termes : plus ça rate, plus on a de chance que ça marche ...
Proverbe SHADOK
Re: Canot porte torpille 1887
D'abord, un grand merci pour question qui encouragent le pauvre modéliste que je suis !
En dépit d'une certaine expérience et confronté à un modèle exécuté totalement en maillechort, je suis actuellement dans la même situation que celle du pauvre néophyte qui n'a jamais vu un cuter et qui doit s'attaquer à la maquette du Soleil royal
Vous dire la merde !
Concernant l'échelle, il fallait lire 1/20ème et non 1/12ème comme annoncé par erreur soit pour 12,50 m un modéle de 62,5cm.
Concernant les plans, je possède une liasse d'environ 20 plans issus du service des archives des Armées de Chatellerault (un grand merci à mon ami B. Orsel pour son introduction dans ce milieu). Je précise que feuilleter des plans originaux, tracés au tire-ligne et aux jus de couleurs il y a plus d'un siècle sont une expérience trés émouvante pour l'architecte que je suis.
Concernant la mise en place des tôle sur mon modèle, elle est parfaitement conforme aux disposition de l'époque soit :
- mise en place sur les membrures des tôles de la murailles et des fonds - épaisseur 1,5 mm,
- aprés interposition d'une "doublante" , bande de tôle de 1,5 mm sur chaque membrure, pose en applique des tôles de bouchain, qui viendront en recouvrement des tôles de murailles et de fonds.
Les rivets : pourquoi tant de cruauté à mon égard
Ces tôles sont assemblées par des rivets à tête ronde (diamêtre de la tête : 0,33 mm).
Leur espacement, à l'échelle est de 1 mm. J'ai bien sur créé une machine à emboutir les rivets (je posterai un topic à cet effet) mais qui ne fonctionne pas ; en effet, les têtes de rivets obtenues par emboutissage doivent être effectuées AVANT la pose de la tôle et une fois cette tôle posée, il n'est plus possible de la rectifier (état de surface).
Donc finalement, pas de rivets !
Par ailleurs, j'ai pris bonne note de vos conseils et vais donc essayer la technique toile de jute + poudre à récurer (pour info, le dentifrice donne un aspect poli et non brossé).
Merci encore une fois pour vos questions.
Hubert
En dépit d'une certaine expérience et confronté à un modèle exécuté totalement en maillechort, je suis actuellement dans la même situation que celle du pauvre néophyte qui n'a jamais vu un cuter et qui doit s'attaquer à la maquette du Soleil royal
Vous dire la merde !
Concernant l'échelle, il fallait lire 1/20ème et non 1/12ème comme annoncé par erreur soit pour 12,50 m un modéle de 62,5cm.
Concernant les plans, je possède une liasse d'environ 20 plans issus du service des archives des Armées de Chatellerault (un grand merci à mon ami B. Orsel pour son introduction dans ce milieu). Je précise que feuilleter des plans originaux, tracés au tire-ligne et aux jus de couleurs il y a plus d'un siècle sont une expérience trés émouvante pour l'architecte que je suis.
Concernant la mise en place des tôle sur mon modèle, elle est parfaitement conforme aux disposition de l'époque soit :
- mise en place sur les membrures des tôles de la murailles et des fonds - épaisseur 1,5 mm,
- aprés interposition d'une "doublante" , bande de tôle de 1,5 mm sur chaque membrure, pose en applique des tôles de bouchain, qui viendront en recouvrement des tôles de murailles et de fonds.
Les rivets : pourquoi tant de cruauté à mon égard
Ces tôles sont assemblées par des rivets à tête ronde (diamêtre de la tête : 0,33 mm).
Leur espacement, à l'échelle est de 1 mm. J'ai bien sur créé une machine à emboutir les rivets (je posterai un topic à cet effet) mais qui ne fonctionne pas ; en effet, les têtes de rivets obtenues par emboutissage doivent être effectuées AVANT la pose de la tôle et une fois cette tôle posée, il n'est plus possible de la rectifier (état de surface).
Donc finalement, pas de rivets !
Par ailleurs, j'ai pris bonne note de vos conseils et vais donc essayer la technique toile de jute + poudre à récurer (pour info, le dentifrice donne un aspect poli et non brossé).
Merci encore une fois pour vos questions.
Hubert
H. MALLET- Messages : 357
Date d'inscription : 19/06/2012
Age : 73
Localisation : paris
Re: Canot porte torpille 1887
J'ai retravaillé ta première photo sur Picasa pour la foncer et rendre les détails plus lisibles.
Je suppose que dans ta liasse de plans, tu as le détail de la machinerie. En service normal, était-elle à découvert? Il ne me semble pas voir de capot de protection.
Je suppose que dans ta liasse de plans, tu as le détail de la machinerie. En service normal, était-elle à découvert? Il ne me semble pas voir de capot de protection.
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Alain Degny- Admin
- Messages : 25017
Date d'inscription : 14/06/2012
Age : 78
Localisation : Parisien exilé dans l'Oise
Re: Canot porte torpille 1887
Cher Alain,
Tu as toujours le mot pour rire ; hélas, il n'y a pas de capot sur la machinerie et le moteur à vapeur bi-cylindres sera donc pafaitement visible
Ainsi que tu le comprendras, si j'arrive à terminer ma coque, il y aura bien du travail en perspective.
bien à toi.
Hubert
Tu as toujours le mot pour rire ; hélas, il n'y a pas de capot sur la machinerie et le moteur à vapeur bi-cylindres sera donc pafaitement visible
Ainsi que tu le comprendras, si j'arrive à terminer ma coque, il y aura bien du travail en perspective.
bien à toi.
Hubert
H. MALLET- Messages : 357
Date d'inscription : 19/06/2012
Age : 73
Localisation : paris
Re: Canot porte torpille 1887
Beau boulot pour un novice en tôlerie. Lorsque tu en seras à la peinture, mettre une couche d'après en bombe pour carrosserie, poncer au papier à l'eau, si nécessaire une deuxième couche, re-ponçage et couche de finition (ce procédé permet l’adhérence de ta couleur de finition).
Comme Mac, je prend mon fauteuil et j'observe.
Bon WE, Michel
Comme Mac, je prend mon fauteuil et j'observe.
Bon WE, Michel
Invité- Invité
Re: Canot porte torpille 1887
Comme Mc fly et marcel47, je prend un siège et je regarde .
Lembrouille.
Lembrouille.
lembrouille- Messages : 106
Date d'inscription : 19/06/2012
Re: Canot porte torpille 1887
Bonjour, maquette surprenante,
travail surprenant,
rendu encore plus suprenant cad c'est beau.
Jacques
travail surprenant,
rendu encore plus suprenant cad c'est beau.
Jacques
Michel L'ancien- Messages : 1008
Date d'inscription : 26/06/2012
Age : 82
Localisation : Banlieu parisienne mais Ch'ti
Re: Canot porte torpille 1887
Je suis admiratif devant ce travail hors du commun, je ne peux que te souhaiter bonne suite pour notre plus grand plaisir
Re: Canot porte torpille 1887
Un grand merci à tous pour vos éloges qui bien entendu ne peuvent que que flatter ma vanité.
Toutefois, ainsi que je l'ai déja expliqué, si j'ai la prétention de ne pas être trop mauvais dans le modèle traditionnel poirier + quelques accessoires métalliques (voir le topic sur mon Liverpool), je suis actuellement dans la situation d'un modéliste débutant qui n'aurait jamais vu une planche de poirier et un cutter et qui se lancerait dans la construction du Victory !!!
En bref, j'accumule toutes les erreurs
D'abord le choix du maillechort pour la construction de la coque.
Je pense, aprés avoir entièrement bordé le coté tribord, que le choix du maillechort est une grosse erreur ; ce matériau, relativement résistant et de type "ressort de montre" aurait du être abandonné au profit de tôles de fer blanc beaucoup plus malléable. D'ou ma difficulté à mettre en forme les tôles de bouchain au droit du maître bau.
De plus, son prix est relativement rédibitoire.
Concernant le traitement estétique de ces tôles, j'ai abandonné le sablage sauf à le sous-traiter à un professionnel ; les spécificité du compresseur (débit mini 150 L minute sous 3 bars ) les grains à employer (vendu par sac de 25 Kg) font qu'il n'est pas à la portée de l'amateur (on laisse tomber les pistolets sableurs de ches Casto !).
Ils me reste quelques armes de chez Otelo dont j'attends la livraison ce soir. Je vous en parlerai lors d'un prochain post.
En attendant, et pour le coté tribord je dégaine mon arme secrète.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Il s'agit d'une rouleuse à trois rouleaux de chez OptiMachines (pub gratuite, les produits de cette société que ce soient tours, fraiseuses sont d'une trés grande qualité et à un prix parfaitement abordable).
Bref, je vous tiendrai au courant, sous réserve que vous ne soyez pas trop pressés, mon activité professionnelle me faisant perdre un temps considérable
A bientôt pour la suite.
Bien cordialement et merci à tous pour votre intérêt à cette construction.
Hubert
PS : merci à Alain Fosse pour la modification de mes plans un peu pâlots.
Toutefois, ainsi que je l'ai déja expliqué, si j'ai la prétention de ne pas être trop mauvais dans le modèle traditionnel poirier + quelques accessoires métalliques (voir le topic sur mon Liverpool), je suis actuellement dans la situation d'un modéliste débutant qui n'aurait jamais vu une planche de poirier et un cutter et qui se lancerait dans la construction du Victory !!!
En bref, j'accumule toutes les erreurs
D'abord le choix du maillechort pour la construction de la coque.
Je pense, aprés avoir entièrement bordé le coté tribord, que le choix du maillechort est une grosse erreur ; ce matériau, relativement résistant et de type "ressort de montre" aurait du être abandonné au profit de tôles de fer blanc beaucoup plus malléable. D'ou ma difficulté à mettre en forme les tôles de bouchain au droit du maître bau.
De plus, son prix est relativement rédibitoire.
Concernant le traitement estétique de ces tôles, j'ai abandonné le sablage sauf à le sous-traiter à un professionnel ; les spécificité du compresseur (débit mini 150 L minute sous 3 bars ) les grains à employer (vendu par sac de 25 Kg) font qu'il n'est pas à la portée de l'amateur (on laisse tomber les pistolets sableurs de ches Casto !).
Ils me reste quelques armes de chez Otelo dont j'attends la livraison ce soir. Je vous en parlerai lors d'un prochain post.
En attendant, et pour le coté tribord je dégaine mon arme secrète.
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Il s'agit d'une rouleuse à trois rouleaux de chez OptiMachines (pub gratuite, les produits de cette société que ce soient tours, fraiseuses sont d'une trés grande qualité et à un prix parfaitement abordable).
Bref, je vous tiendrai au courant, sous réserve que vous ne soyez pas trop pressés, mon activité professionnelle me faisant perdre un temps considérable
A bientôt pour la suite.
Bien cordialement et merci à tous pour votre intérêt à cette construction.
Hubert
PS : merci à Alain Fosse pour la modification de mes plans un peu pâlots.
H. MALLET- Messages : 357
Date d'inscription : 19/06/2012
Age : 73
Localisation : paris
Re: Canot porte torpille 1887
Otello? Je croyais qu'il fabriquait des mouchoirs? A moins que je me sois trompé d'opéra.
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Aimez-moi, honorez-moi, parce que je le vaux bien. (St Ignace de Loréal)
Alain Degny- Admin
- Messages : 25017
Date d'inscription : 14/06/2012
Age : 78
Localisation : Parisien exilé dans l'Oise
Re: Canot porte torpille 1887
J'ai reçu ce soir ma commande de chez Otelo et vous présente ces quelques armes magiques que je viens d'essayer à ma grande satisfaction :
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A gauche, des gommes à effacer, en grain 60, 120 et 240 ; par rapport au papier carrossier classique, le gain de temps est incomparable (10 minutes avec un papier carrossier et 1 minute avec cette gomme). De plus sa forme relativement rigide sert de calle à poncer. Prix environ 8 € la bête.
A droite, un abrasif en feuille référence 3M CF HP (prix 2,20 € le feuille) ; c"est une sorte de soctch brite, qui ne laisse aucune trace de rayure et donne un fini parfait de type mat (disons satiné). La brillance de mon maillechort a disparu et donne un aspect parfait.
Mon problème de finition et de brillance est donc résolu à ma grande satisfaction.
Reste bien évidemment à investir dans un peu d'huile de coude.
Je vous tiendrai au courant.
Bien cordialement
H. Mallet
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A gauche, des gommes à effacer, en grain 60, 120 et 240 ; par rapport au papier carrossier classique, le gain de temps est incomparable (10 minutes avec un papier carrossier et 1 minute avec cette gomme). De plus sa forme relativement rigide sert de calle à poncer. Prix environ 8 € la bête.
A droite, un abrasif en feuille référence 3M CF HP (prix 2,20 € le feuille) ; c"est une sorte de soctch brite, qui ne laisse aucune trace de rayure et donne un fini parfait de type mat (disons satiné). La brillance de mon maillechort a disparu et donne un aspect parfait.
Mon problème de finition et de brillance est donc résolu à ma grande satisfaction.
Reste bien évidemment à investir dans un peu d'huile de coude.
Je vous tiendrai au courant.
Bien cordialement
H. Mallet
H. MALLET- Messages : 357
Date d'inscription : 19/06/2012
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Localisation : paris
Re: Canot porte torpille 1887
J'avais évoqué un moment le ponçage au grain 400 à l'eau , as-tu essayé ?
C'est ce qu'utilisent certains carrossiers pour dépolir et préparer les tôles avant d'y apposer la couche d'aprêt.
Je dis çà juste pour une question de prix, mais je vois que tu as trouvé ton bonheur Hubert !!
C'est ce qu'utilisent certains carrossiers pour dépolir et préparer les tôles avant d'y apposer la couche d'aprêt.
Je dis çà juste pour une question de prix, mais je vois que tu as trouvé ton bonheur Hubert !!
Invité- Invité
Albatros- Messages : 824
Date d'inscription : 16/06/2012
Localisation : Vendée
Re: Canot porte torpille 1887
Pour répondre à WDocquois, j'ai essayé le 400, même le 600 mais sans résultat.
En effet, si ces papiers donnent un aspect physique de surface trés satisfaisant, l'aspect optique lui ne l'est pas.
En effet et pour respecter les conventions du modèle d'arsenal, il n'y aura pas de peinture ; en conséquence, les tôles de maillechort devront avoir le même aspect qu'une tôle electrozinguée à l'échelle 1.
Ces gommes et cet abrasif donnent un aspect trés satisfaisant et surtout sans aucune rayure visible.
Pour Lalouippe, des rouleaux de 3 m ! Mon atelier n'est pas trés grand.
Bien cordialement
En effet, si ces papiers donnent un aspect physique de surface trés satisfaisant, l'aspect optique lui ne l'est pas.
En effet et pour respecter les conventions du modèle d'arsenal, il n'y aura pas de peinture ; en conséquence, les tôles de maillechort devront avoir le même aspect qu'une tôle electrozinguée à l'échelle 1.
Ces gommes et cet abrasif donnent un aspect trés satisfaisant et surtout sans aucune rayure visible.
Pour Lalouippe, des rouleaux de 3 m ! Mon atelier n'est pas trés grand.
Bien cordialement
H. MALLET- Messages : 357
Date d'inscription : 19/06/2012
Age : 73
Localisation : paris
Re: Canot porte torpille 1887
Hello grand Maître Hubert,
Comme d'habitude, de la réflexion vient l'action ; bravo pour la rouleuse de plaques. je vois que tu investis dans la construction métallique, je pense que j'aurais un jour besoin de ta machine...
Pour ce qui est du maillechort, je crois , non j'en suis sûr, que cet alliage particulier qui sera bientôt interdit dans sa composition actuelle, s'oxyde très lentement et devient gris mat.
il est indispensable que tu laisses ton métal se patiner puis de le frotter avec tes divers gratte-dos ce qui laissera une patine dans les angles ou dans les creux ( comme un jus en peinture) puis de passer une huile anti-oxydation ( produits d'antan) qu'on trouve en petit flacon chez Laverdure et autre HBM dans le faubourg.
Je vais essayer de passer qques photos des patines de mon "Cyrano".
A très bientôt
J-Pascal
Comme d'habitude, de la réflexion vient l'action ; bravo pour la rouleuse de plaques. je vois que tu investis dans la construction métallique, je pense que j'aurais un jour besoin de ta machine...
Pour ce qui est du maillechort, je crois , non j'en suis sûr, que cet alliage particulier qui sera bientôt interdit dans sa composition actuelle, s'oxyde très lentement et devient gris mat.
il est indispensable que tu laisses ton métal se patiner puis de le frotter avec tes divers gratte-dos ce qui laissera une patine dans les angles ou dans les creux ( comme un jus en peinture) puis de passer une huile anti-oxydation ( produits d'antan) qu'on trouve en petit flacon chez Laverdure et autre HBM dans le faubourg.
Je vais essayer de passer qques photos des patines de mon "Cyrano".
A très bientôt
J-Pascal
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