Reconstruction de la Niña au 1/48 (Christophe Colomb - 1492)

Très bien ces gorges, ça soutient ton moral!

Grâce à la Bocfil... elle est fidèle, la scie...

Je ne vois pas où va se brancher le collier de racage à l'arrière de l'antenne :
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Polome = viel zu kurtz... 

Sur WzM, page 183, plus explicite,
ce modèle avec cap de mouton :

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Merci 

Comparaison entre l'élévation de
Madrid et celle issue de Pastore :
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Il manque chez Pastore le mâtereau horizontal planté vers l'arrière 

CRI-CRI a écrit:Comparaison entre l'élévation de
Madrid et celle issue de Pastore :

Il manque chez Pastore le mâtereau horizontal planté vers l'arrière 

Effectivement , vu la voilure (pour moi le profane) ceci me semble indispensable.

Avec l'arbre, on voit mieux. Les deux cordages portent des boules de racage sans les "planchettes" représentées sur le deuxième dessin (les bigots), elles font le tour de l'arbre par derrière.

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Bonjour,

Merci pour la précision

Pour une meilleure visibilité de la quête, je pensais mettre l'antenne
tribord amures, le racage étant visible de face par le fait, qu'en dites-vous ?

Faisable, ou non ?

On note aussi que les antennes du Musée serait inversées, quart en bas
et penne en haut, contrairement à ce qui est prévu sur le plan de Pastor,
et selon ce que vos indications antérieures, que je compte bien appliquer... 

Cordialement,

Christian

Par derrière pour mon dessin veut dire par rapport au dessin, en vrai elles sont sur le coté opposé à l'antenne donc visible de face obligatoirement.

Ce que vous définissez est une position relatve

Comme le gréement latin empêche de changer d'amure par rotation de l'antenne autour du mât, la question était : est-ce qu'il y a dans l'absolu une amure privilégiée, et si oui, laquelle, bâbord ou tribord ?

Si, par bonheur, l'usage par défaut est pour bâbord amure, ou bien s'il n'y a pas de préférence définie, je peux placer arbitrairement les antennes du côté que je prévois, avec racage face à moi, et la voilure derrière les arbres quand le modèle me montre bâbord 

Les antennes des bâtiments peuvent bien entendu changer d'amure en changeant de bord, ça s'appelle muder.
Il n'y a donc pas de coté privilégié pour placer les antennes. Par contre il faut mettre les deux du même coté contrairement à l'image au dessus.

Bravo pour le coup d'œil, je n'avais pas remarqué le défaut de voilure de la photo 

Deux radios de contrôle de croissance du bébé : pour la taille, je crois qu'il va bien :

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Une amie, humoriste à ses heures : Je ne savais pas qu'ils avaient le chauffage...

J'arrondirais encore plus les angles haut pour que cela soit plus dans l'esprit "poulie"

Je note, mais cette finition dépend des réas,en cours de livraison

Quelques photos ensoleillées pour patienter, en attendant la suite :

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Très bel éclairage. 

Tu aurais pu répondre à ton amie qu'à l'époque on se chauffait à l'hérétique et que Torquemada était la meilleure marque de radiateurs.

Néron, inventeur et poète, avait déjà expérimenté avec succès le même procédé pour l'éclairage public 

Ainsi que j'ai déjà eu l'occasion de l'écrire, le personnage donne vraiment une bonne idée de la taille. Et ils se sont entassés à vingt-deux là-dedans ? Il ne fallait pas rechercher l'intimité ...

Relativement en fonction de la taille du bateau 22 c'est confortable. D'autant qu'ils ne se sont pas inscrits sur Costa !
Non, la difficulté c'est la bouffe vu le long voyage.

Qu'il a fait beau à Straßburg aujourd'hui! Le photographe en lâche la Niña!

Ya Pacy sur Eure aussi temps de printemps.

Michel Saunier a écrit:Relativement en fonction de la taille du bateau 22 c'est confortable. D'autant qu'ils ne se sont pas inscrits sur Costa !
Non, la difficulté c'est la bouffe vu le long voyage.

Ah bon ? J'aurais cru que ... Comme quoi tout est relatif !

Prises de vues inhabituelles, pour meubler en attendant la livraison des réas :

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De toute beauté , le bois resté naturel est la meilleure chose en modélisme naval bois.

Je ne venais pas souvent sur le forum et n'avais pas suivi ta construction. Elle est magnifique ta Nina

PAB a écrit:

Michel Saunier a écrit:Relativement en fonction de la taille du bateau 22 c'est confortable. D'autant qu'ils ne se sont pas inscrits sur Costa !
Non, la difficulté c'est la bouffe vu le long voyage.

Ah bon ? J'aurais cru que ... Comme quoi tout est relatif !

Oui il est vrai que les denrées séchées habituelles; poissons, lards, biscuits, et autres mets n'étaient pas propres à éviter le scorbut. On ne connaissait pas encore si les vertus des fruits citrons en principal ni la choucroute pour éviter ces inconvénients. L'eau en barrique même additionnée de vinaigre devait avoir des remugles d'égout. Heureusement les rations de vin (encore faut-il appeler ça vin) et de rhum journalière pouvaient un chouïa compenser. Mais même les biscuits secs devaient atteindre des limites.

Michel même le rhum n'en était pas ou tout au moins comme on le connait depuis le Père Labat.
C'était de  la mélasse (résidus de canne  après transformation sucrière)  fermentée mais non distillée, tafia, si mes souvenirs sont exacts. 
De plus c'est  C.Colomb himself qui va importer la canne à sucre  d'Asie  à  Haiti mais en1500 et des brouettes.
La mélasse distillée ne viendra que vers 1630 (rhum de sucrerie) quant au rhum agricole ( issu du pur jus de canne et non des résidus) ainsi qu'une distillation de type cognac (d'où les rhums dits "coeur de chauffe) viendra avec le Pére Labat aux Antilles françaises (French West Indies) et particulièrement à Marie -Galante mais fin 17ème siècle.
J-Pascal