monotype Dragon (terminé)

J'ai commencé il y a quelques années une collection de bateaux classiques au 40ème, et après une interruption pour faires des avions de la grande époque (papier ou photodécoupe), je reviens à mes premières amours....
je démarre donc la réalisation d'un monotype dragon.
Mon objectif n'est pas de faire un modèle d'arsenal ( je n'en ai pas les moyens documentaires, ni le niveau....) mais de réaliser un dragon "classique", qui ne sera pas la reproduction fidèle d'un dragon existant, mais qui soit "cohérent".
Donc, première étape: les plans.
direction le site de l'association française de la série internationale Dragon (AFSID), où des plans sont disponibles......seulement à plus de 200 euros le bout, ça fait un peu réfléchir (les ayants droit de Johan Anker font fructifier le patrimoine).
Je me rabats donc sur un plan de modélisme édité par l'excellente revue le chasse marée, beaucoup moins cher, et qui me suffira pour la coque. Pour ce qui est du plan de pont, de l'accastillage, etc, je m'inspirerai de photos trouvées sur internet ( sites de fédérations nationales, ou de constructeurs). J'ai également contacté le président de l'AFSID, pour avoir notamment quelques précisions sur les manoeuvres courantes, j'attends une réponse.....
Si quelqu'un du forum a des tuyaux, je suis volontiers preneur!



premier travail, la réduction des plans à la bonne échelle. J'ai utilisé une photocopieuse assez performante, qui n'engendre pas de déformation. Je tire plusieurs exemplaires de la vue de profil, et des couples, qui me serviront de base pour la découpe.




phase suivante, le découpage de demi couples, ainsi que du profil, sur lesquels je rapporte la ligne de flottaison, et deux lignes qui matérialisent les niveaux des deux ponts ( en fait ce sont plutôt dans la réalité des caillebottis), niveau inférieur de ces ponts, qui tient compte de l'épaisseur prévue de ceux ci ( peut être pas très claire, mon explication....).
Comme je vais faire la construction quille en l'air, je trace une dernière ligne, parallèle à la flottaison, qui sera le niveau de référence pour tous les gabarits de couples. Cette ligne constitue ma référence de découpe de chaque demi couple. Dernier tracé sur les gabarits de couple, le ligne qui marque le livet de pont.




Je colle le profil sur une planchette de poirier de 2 mm d'épaisseur, dans laquelle je vais donc tailler quille/étrave/étambot d'un seul tenant. Cette épaisseur ne correspond sûrement pas, à l'échelle, à l'épaisseur réelle de la quille grandeur, mais elle me permettra de tailler une rablure ( et puis je ne dispose pas du devis d'échantillonage).
Les demi gabarits de couples sont collés sur une double épaisseur de contreplaqué de 2mm, en prenant soin d'aligner le bord du gabarit papier qui représente le milieu du gabarit, avec le bord de la planchette de contreplaqué. Entre les deux planchettes, futurs demi couples, est collée à la colle stick une feuille de papier, ce qui rend aisé le décollage. une fois que les demi gabarits auront été découpés, ajustés, poncés à la cote, il ne restera plus qu'à les assembler. En procédant de la sorte, je me garantis une certaine symétrie.



prochaine phase, le découpage de la quille et les gabarits de couples.

j'en profite pour mettre quelques images de mes autres "petits bateaux", en commençant par un requin.

On va suivre tout cela avec grand intérêt. Joli, le requin.

Le plan AFSID, vendu au prix du caviar, c'est un plan à échelle réduite, pour maquettiste?

Je te proposerais bien quelques photos d'un "vrai", à la condition que tu patiente jusqu'à l'été prochain ... il doit en rester un ou deux qui naviguent régulièrement en baie de Morlaix, je pourrai les mitrailler lors des prochaines vacances d'été ...

Merci pour les compliments sur le requin, j'apprécie l'oeil du maître....
Sur le site de l'AFSID, il y a une vue des plans du dragon. Je ne pense pas qu'ils soient prévus en tant que plans de modélisme, mais plutôt pour une construction grandeur, ( ils sont apparemment au 20ème) je n'ai pas beaucoup plus d'infos la dessus.
Si l'on consulte les documents des règles de jauge, on s'aperçoit que plusieurs types de construction sont possibles: Le voilier doit être construit selon l’une de ces façons ( extrait ds règles de jauge) :
* joint à franc-bord vaigré selon le règle 2.20 (édition 1989) et sous réserve d’un accord préalable de l’ISAF pour chaque voilier construit, ou
* contreplaqué moulé à froid (voir règle 2.30), ou
* bois stratifié (voir règle 2.40), ou
* fibre de verre et résine (voir règle 2.50)...
Il semblerait que les plans correspondent plutôt à un type de construction classique.

merci Cornic pour ta proposition, mais j'espère avoir fini le dragon avant le prochain été!
Du coup, tes photos me serviront à décider si je garde le dragon, ou si je le brûle....

slt ami de la voilure est-il possible d'avoir une copie du plan merci, je débute dans la maquette mais je rame pour trouver un plan

alain42 a écrit:Du coup, tes photos me serviront à décider si je garde le dragon, ou si je le brûle....

Si tu le fait aussi bien que le Requin, il n'y a pas de raison qu'il serve à alimenter ta cheminée.

christiandu57 a écrit:est-il possible d'avoir une copie du plan merci, je débute dans la maquette mais je rame pour trouver un plan

Les plans du dragon, version modélisme "de base" sont disponibles un peu partout, notamment chez MRB (je pense ...) ou dans d'autres ouvrages. Ils seraient bien plus simples si tu débute dans la construction navale et le modélisme.

pour Cornic:
tu as raison, si je le brûle, vu la taille de la bête, je ne vais pas tenir une longue soirée d'hiver.....

pour Christian:
il doit effectivement exister un plan chez MRB ( d'ailleurs, au départ, je n'y avais même pas pensé!), il faudrait vérifier dans la catalogue de plans de cette revue. Sinon, je veux bien faire une photocopie de celui que j'ai, et te l'envoyer, mais pas avant début 2013, because congés et pas d'accès à ma photocopieuse préférée.

Allez, pour finir, des photos d'un autre bateau-que-c'est-même-pas-la-peine-de-le-bruler-vu-la-taille, un dinghy de 12 pieds, toujours au 40ème ( soit 8 cm de coque)

Sympa la petite chose. Tu l'as construite sur contreforme?

effectivement, la construction s'est faite sur moule:
j'ai fabriqué un moule intérieur coque en balsa, dans lequel j'ai fait des entailles transversales pour loger les membrures ( faites avec du bois de plaquage, sur le principe du lamellé collé) et une entaille longitudinale pour la quille. Ce moule a été vernis pour éviter que la colle n'adhère, au démoulage.
Ensuite pose des clins en acajou. La difficulté a été de trouver le bon brochetage, de façon à ce que ça "file" bien. Je l'avoue, j'ai triché sur le nombre de clins, il devrait y en avoir plus. Ils sont collés avec de la colle à bois classique, et pas avec de la cyano.
J'ai beaucoup transpiré au démoulage, mais tout s'est bien passé. A la louche, la coque doit faire moins de 5 grammes.

le prochain post, promis, je reviens au dragon!

Bonjour Alain

Je trouve ces 2 réalisations de très belle facture, et tes commentaires trahissent une bonne connaissance et une maitrise des techniques du modélisme de bon niveau. Je suis très intéressé de suivre ce projet de Dragon !

Wil

Bonjour,
Comme promis, ce post retourne à la suite de la construction du dragon.
Donc, une fois que les bandes de contreplaqué sur lesquelles sont collés les demi gabarits de couples sont débitées grossièrement, un petit coup à la scie à chantourner pour approcher la forme finale.



La quille est elle aussi découpée, ajustée par ponçage. J'ai volontairement laissé un peu (beaucoup) de gras pour les parties les plus fines ( entre étrave et lest, entre lest et étambot) pour avoir un peu plus de solidité, et pour pouvoir tailler un semblant de rablure, sans tout faire péter....Ce gras sera éliminé par ponçage une fois le bordage terminé.

Etape suivante, un petit peu de ponçage pour parvenir à la forme définitive de chaque demi gabarit....heureusement que j'ai mon CUC2N! ( centre d'usinage à commande non numérique....)



Grâce à cet excellent outil ( qui forme un très beau duo avec ma lime préférée), le travail avance, demi gabarit après demi gabarit.
Quand un demi gabarit est à la bonne cote, il suffit de passer une lame de rasoir entre les deux épaisseurs de CP ( il y a entre les 2 une épaisseur de papier, il est donc facile d'y glisser la lame de rasoir), et de coller les 2 moitiés bord à bord.

J'ai aussi préparé mon chantier, dans une planchette de médium qui a déjà servi pour d'autres réalisations, mais qui est encore bonne pour le service!
L'axe est tracé, ainsi que les emplacements des différents gabarits;





Pour patienter jusqu'au prochain post, encore 2 photos d'une ancienne réalisation, toujours au 40ème: c'est une yole ronde de Martinique.





Quand on a la chance de voir ces yoles en régate, on se rend compte que le monde est vraiment peuplé de doux-dingues!

bonjour,
comme j'ai un peu avancé dans mon chantier, voici quelques photos de la suite.

Tous les couples sont découpés, les demi couples collés les uns contre les autres.





sur chaque couple, je colle à la base un morceau de carrelet de 5 par 5, puis chaque couple est collé sur le chantier, en vérifiant la perpendicularité et le centrage par rapport à la ligne de référence. Les formes de la coque commencent à se révéler (à l'envers!). Au préalable, j'ai préparé sur le sommet ( en fin de compte le pied, puisqu'ils sont à l'envers) une encoche qui recevra la quille.
Vérification faite en consultant les règles de jauge du dragon/grandeur, avec ma quille de 2 mm d'épaisseur, je suis à peu près dans les clous, puisque pour une construction en bois moulé, l'épaisseur de la quille doit être comprise entre 60 mm et 65 mm, et l'étrave peut être portée à 80 mm. Je n'ai pas les indications d'épaisseur de quille pour la construction avec virures, mais on va dire que ce ne doit pas être très différent.
Donc ma quille aurait du théoriquement faire 1,5 mm d'épaisseur au 40ème, il y a un demi mm de trop.....
Je voulais me garantir un minimum de robustesse, et puis je vais encore être appelé à tricher pour certaines dimensions, donc je m'en excuse par avance!



La quille est donc fixée sur les couples. Comme j'ai décidé d'équiper le dragon de cloisons étanches ( ce qui est autorisé par les règles de jauge), certains couples sont collés sur la quille ( ceux qui seront masqués par les cloisons étanches, couples 1,2,3 et 4 à l'avant, couples 13 et 14 à l'arrière), car les virures seront collées dessus. D'autres couples ne sont pas collés à la quille, car il devront être extraits complétement une fois la coque bordée ( couples 6, 11 et 12). Enfin, les couples restants ( 7,8,9 et 10) sont fixés à la quille, ils seront partiellement extraits, seul subistera le pied du couple, jusqu'au niveau du dessous du plancher. Pour ces derniers couples, j'ai donc entaillé les 2 faces, au niveau de la ligne qui correspond au dessous du plancher, pour pouvoir séparer plus facilement la partie qui doit être extraite.
Sur la photo, la moitié droite des couples est déjà équerrée, la moitié gauche pas encore. Les tranches des couples sont passées au crayon graphite, pour vérifier l'équerrage au fur et à mesure du ponçage.



Les couples sont tous équerrés, on va pouvoir passer au bordage de la coque. Au prélable, il reste à fixer le tableau arrière, que j'ai préparé sur une planche composite, légèrement cintrée ( principe du lamellé collé): 2 épaisseurs de CP de 0,4 mm et une épaisseur de tilleul de 1mm. La régle de jauge indique une épaisseur de tableau de 20 mm minimum ( soit 0,5 mm au 40ème!), je triche donc un peu là aussi, et je réduirai l'épaisseur par ponçage, une fois la coque bordée.



Le tableau est découpé avec un peu de gras sur la hauteur, il sera ajusté une fois équerré, et la coque bordée.
Parlons justement des planches de bordé: la règle de jauge indique une épaisseur minimum de 17 mm, soit 0,4 mm au 40ème....c'est du fin fin! Nouvelle triche, je vais tailler mes virures dans du tilleul de 1,5 mm, et encore une fois je réduirai l'épaisseur par ponçage, mais je n'irai pas au dessous du mm, pour garder un peu de robustesse. Les virures doivent être fixées par des clous en cuivre de 5 mm de diamètre, soit.....pas grand chose au 40ème, donc, à priori, je me passerai de cloutage, bien que j'ai prévu une coque vernie pour les oeuvres mortes, et peinte en blanc pour les oeuvres vives.
la règle de jauge ne donne pas d'indication pour la largeur des bordés, mais j'ai touvé en furetant sur le net des photos de dragons "classiques", et il semblerait qu'au maître bau, on distingue 4 virures au dessus de la flottaison. Mesure prise sur le plan, cela nous fait des virures grandeur d'environ 12 cm de large, soit 3 mm au 40ème.
je taille donc dans ma planche de tilleul de 1,5 mm mes virures. La mesure du demi couple au maître bau indique qu'il devrait y en avoir une douzaine de chaque côté de la coque.

La prochaine étape sera le brochetage des virures....

Beau boulot et j'adore ta technique pour fabriquer les couples. Je sens que je vais la réutilser pour la canonnière

Merci pour l'appréciation, c'est sympa.
J'utilise depuis pas mal de temps cette technique, car je trouve qu'elle permet d'assurer une bonne symétrie des deux demi couples. L'important au ponçage, c'est de caler la lime bien à plat, pour éviter d'avoir un demi couple plus fort que l'autre.
Tu as créé un sujet sur ta cannonière?

Pas encore, j'ai déja 4 chantier sur le gaz Dès que j'ai fini le king je m'y met. Pour la quille tu procede coment pour la tracer?

Beau travail que je vais suivre de près !!!
J'aime beaucoup tes intermèdes de chantier.
N'hésites pas à les mettre dans la section des bateaux terminés !!!

Kité mwen di-w an ti bagaï, yole ta-la, i bel toubonman!
(laisse-moi te dire un p'tit truc, cette yole là, elle est très belle)

Le dragon est prometteur.

Merci à tous pour les encouragements!
pour répondre à flyfred, je trace la quille de la façon suivante:
je découpe une vue de profil sur une photocopie du plan, sur laquelle j'ai rajouté les lignes de référence dont j'ai besoin (niveau du dessous des planchers par exemple), et je la colle sur la planchette, à la colle stick ( c'est plus facile à décoller après la découpe, il suffit d'humidifier un tout petit peu, et ça vient tout seul). Puis je découpe la planchette et j'ajuste en suivant les contours sur le papier. C'est en fait le même système que pour les couples.
Monsieur Frédéric, je te prends au mot, et j'ouvre un sujet illico presto sur un cotre de carantec, toujours au 40ème.
Et je me remets sur le dragon....jusqu'au prochain article!

Excellent !!!

Je n'avais pas vu le dinghy et la yole ...

J'ai suivi les régates de yoles rondes à la télévision (je ne sais plus sur quel canal ...) il y a quelques temps de cela, et l'idée d'en faire un modèle m'avait alors tenté ... mais faute de temps ...

je ferai un sujet sur la yole dans la bonne rubrique, quand j'aurai fait quelques photos. Et un autre sur le dinghy, et puis un sandbagger, et puis le clipper d'argenteuil, et puis le requin.....mais faut p't'être que j'm'occupe du dragon!

Matthieu. Tu m'apprends le breton pour mon futur Lanvéoc, je t'apprends le créole pour ta future yole.

Alain, pas besoin de prendre des cours ... après un bon poulet au whisky, c'est spontané, que ce soit le créole ou le breton

Ah la la, un sandbagger !!! vite, je veux voir ça !!!

Bonjour à tous,
voici donc la suite du travail, c'est à dire pour l'instant le brochetage des virures.
j'ai donc taillé celle ci dans une planchette de tilleul, elles seront d'un seul tenant de la proue à la poupe.
Pour définir leur brochetage, je procède de la façon suivante:
-je mesure la dimension du demi couple au maître bau, du livet du pont jusqu'à la jonction avec la quille ( gabarit de couple n°.
- je fais le même genre de mesure sur les gabarits n°2, n°5 à l'avant, n°10 et n°14 à l'arrière
- je divise ces mesures par celle du maître bau, et j'obtiens un rapport de réduction. Je reporte ce rapport de réduction sur la valeur de 3 mm, qui correspond à la largeur de mes virures au maître bau, et j'obtiens les valeurs des largeurs aux gabarits n° 2,5,10 et 14;
- une fois ces valeurs calculées, je les reporte sur un profilé alu en U, dont la gorge fait 8 mm de profondeur, sur 6 mm de largeur, à des distances qui correspondent aux distances entre les différents couples.
- je ponce la tranche du profilé en U jusqu'à obtenir, aux points repérés, la bonne largeur, c'est a dire: 1 mm ( épaisseur du profilé)+4mm ( épaisseur de la calle introduite dans le U)+ valeur trouvée à chaque gabarit ( donc 3 mm au maître bau, on retrouve donc les 8mm d'épaisseur du profilé).


le gabarit de brochetage mis en forme

Une fois le gabarit terminé, il ne reste plus qu'à mettre les virures en forme:


En haut sur la photo, les virures sont collées sur un plot 4 par 4.
Puis un deuxième plot est collé de l'autre côté. Les virures sont placées dans le profilé en U, et bloquées en collant une cale de chaque côté.
Rabot, cale à poncer, etc, pour obtenir le profil des virures, que je sépare en coupant les parties collées sur les plots.

prochaine étape: le bordage de la coque.....c'est pour bientôt!

Bonjour,
je reprends la suite du sujet, car le chantier avance un peu, doucement....
donc le bordage est commencé, avec mon fagot de virures brochetées. les virures sont donc collée sur les couples à l'avant et à l'arrière, pas sur les couples du milieu, qui ont été protégés de la colle par 2 couches de peinture émail sur la tranche ( un fond de pot humbrol)



les virures sont collées entre elles, sur la tranche, avec de la colle à bois classique, une virure d'un côté, une autre de l'autre, rien que du très classique.



pour tenir les virures à l'étrave, je me suis fabriqué une cale amovible, oserai-je dire des apotres externes....

dans le même temps, j'avance sur la conception du cockpit, et le système de commande des écoutes.
les dragons modernes ont des cockpits qui sont de vraies usines à gaz, avec une traverse qui regroupe pas mal de retours de drisses et écoutes, notamment l'écoute de grand voile, et une autre traverse, appelée piano, située juste au bord du capot, où sont également ramernés pas mal de cordages ( écoutes de spi, drisses de sortie et de rentrées de spi, qui coulisse dans une chaussette sous le pont, commandes d'ouverture et de fermeture d'une trappe pour laisser passer le spi, commande de pompe, et j'en passe) le dessous du pont de ces dragons est une vraie toile d'araignée. je ne vais pas me lancer dans une telle chose, trop complexe, et surtout par manque de docs. j'ai par contre trouvé des photos de dragons "classiques", où les circuits d'écoutes sont beaucoup plus simples, et non masqués sous le pont. je vais plutôt pencher pour ce type d'accastillage, avec probablement 2 winches latéraux, au bord bes hiloires du cockpit. tout cela va s'affiner petit à petit.....
je retourne au bordage!