Nettie Quill, transport de coton mais pas que...

Effet surtout visible à cause de l'angle de prise de vue. Je pense qu'à la base, c'est la base (le pont) qui est un peu faussé.
Laurent

Avec les rambardes, cela ne se verra pas. En tous cas, comme disait Melle Bonacieux, il faut de la constance pour faire ce genre de boulot répétitif.

Comme tu le dis Alain, de la constance il faut (devise du 4 mai).
J’ai installé le courant chez les locdus.
Les rendus photos ne sont pas super. Il y a un variateur d’intensité qui permet de simuler un éclairage vacillant et quelques fils maintenus en place.
Je commence l’ébauche des rambardes et vous la soumets ohhhh mes bons maîtres.

Sois prudent avec tes éclairages vacillants. Il serait dommage que la Nettie Quill connaisse le même sort que le Georges Philippar.

Lumière vacillante ? Avec un éclairage électrique ?

La Nettie restera sur des eaux calmes et n’ira pas jusque Djibouti.
Pour avoir un éclairage vacillant, le boîtier de commande des leds est un programmateur permettant de contrôler l’intensité de chacune des leds individuellement et de leurs donner, individuellement, un cycle de variation.

Je me suis mal exprimé et j'm'escuse de vous d'mander pardon.

Ce qui me surprend, c'est ton idée de mettre un éclairage vacillant façon bougies, sur un navire équipé de l'électricité.

Djibouti, qui n'est donc pas sur le trajet de la Nettie, on y servait le soir, en plein air, de l'excellent poisson pimenté cuit verticalement dans un four en terre semblable à un tandour. Le tout servi sur une innovation, des carrés de papier kraft, remplaçant depuis peu les pages du journal local.

Les gargotiers ne servant pas d'alcool, Islam oblige, les expat's arrivaient avec leurs glacières remplies de bouteilles de rosé et amenaient leurs couverts.

Bonjour à tous,
J’ai donc reprogrammé les leds.
Pour la suite, histoire de rester maniaque, si vous en êtes d’accord, je vais m’attaquer aux rambardes; dans ses plans, mamie AL les voyaient entre les epontilles; pour ma part, en scrutant les photos, elles seraient plutôt extérieures.
Sur la photo, vous voyez ce que AL propose en photodec et ce que j’ai vite fait fait en bois pas très précis. J’ai peur que la photodec fasse trop plat et contraste trop avec les portes.
Merci d’avance pour votre retour.

Tu as raison de t'adresser au Génie du Plateau picard (des Carpathes, c'est déjà pris).



En agrandissant la photo colorisée, on voit nettement que les rambardes sont à l'extérieur des montants verticaux sur lesquels elles prennent appui et d'autre part qu'elles sont très fines.

Mon conseil, compte tenu de l'échelle, c'est d'utiliser la photodec en collant sur la face extérieure les trois renforts horizontaux, au pied, au milieu, au sommet. Eux seront réalisés dans une très fine baguette de bois collée à la cyano. Le renfort du haut servira d'appui à la lisse de plat-bord, également en bois (à coller à la cyano vu le peu de surface).

La différence d'épaisseur volets/rambardes ne sera pas choquante et visuellement l'aspect sera nickel.

On observe aussi sur la photo que le pont est tout sauf régulier et qu'il fait des vaguelettes, ce qui te permettra de répondre aux mauvaises langues qui avaient fait une remarque sur le tien, que tu l'as fait exprès par souci d'exactitude. Na ! Pan sur le bec !

Bonjour à tous,
En mettant plusieurs couches diluées sur les pièces en photodécoupe on obtient une épaisseur sans empâtement qui simule à merveille l'épaisseur des bois.
A cette échelle, le moindre défaut dans les dimensions et surtout la répétition des bois serait dommageable pour le modèle.
Bien à vous tous.
J-Pascal

Merci ô mes bon maîtres; je m’exécute…

J'abonde dans le sens de Jean Pascal Ducret.

Au temps où je faisais du gris, c'était la méthode que nous utilisions pour donner un peu de "gras" aux pièces en photo-découpe lorsque nécessaire. C'était surtout pour la représentation des accessoires en métal, mais ce qui est bon pour l'un doit aussi l'être pour l'autre ...

Et puis apparemment il semblerait que tu aies le quitus du Divin Lumignon pour faire des ponts ondulants, alors la vie est belle ! Yippee ! Lâchons nous ! 

Et, comme dit le poète :
Comme nous le savons, sur ce genre de véhicule,
Vérifier nous devons, que toujours le pont ondule.


On notera qu'au niveau rimes, je suis resté dans le bon goût et le distingué.