HMS Prince IV (Constructo)

et de 4

De mon côté j'en suis à la pose des ponts !

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J'ai eu le même décalage que Guido et Jo Bart au niveau du passage du mat mais grace à vous j'ai anticipé l'erreur en rognant la fausse quille !!

Pour la finition des lattes du pont, pour l'instant je n'ai pas simulé les clous ... j'hésite et j'ai vu que les avis sont très partagés. Les simuler par du fil de 0,2mm me semble trop complexe pour moi ; les points au crayon faisables mais le rendu n'est pas top donc au final je me demande si je ne vais pas laisser comme cela ?? ... qu'en pensez-vous ?

A suivre ...

Les points au crayon, au 1/60e, c'est beaucoup plus raisonnable que les innombrables préperçages au foret de 0.2, dont tu vas casser une multitude coûteuse. Le tout, c'est de ne pas utiliser de mine grasse.

Bonjour Olivier.

Bienvenu au club.

Cela semble bien parti. Bravo

N'hésite pas à m'interroger si tu as un doute. J'aime autant que mes erreurs servent à quelque chose ...

Pour la pose des bordés de la proue, si je devais recommencer la maquette, je remplirais complètement l'avant de la coque (l'équivalent des allonges d'écubier) avec un bois de remplissage (pin, balsa) que je mettrais en forme par ponçage. cela sera beaucoup plus facile de visualiser la courbe et de coller ensuite les virures.

Dans le forum, il y a plusieurs "kiteurs" qui ont utilisé cette méthode ce qui te permettra de voir ce que je veux dire mais je n'arrive pas à les retrouver.

Quelqu'un pourrait nous dépanner ?

A+

En bon dernier de l'équipe des "Princes", j'ai enfin trouvé un peu de temps pour avancer, en posant le premier de bordé et quelques lattes suivantes.

Merci pour tes conseils Guido ! La documentation de Constructo outre d'être erronée au niveau de poupe et pour le moins très sommaire quand à la forme à épouser ; j'ai donc relevé plusieurs points intermédiaires sur les couples en comptant les lattes qui vont être positionnées au-dessus. Voici ce que cela donne :

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On remarquera les fameux cavaliers d'Orion-p87 ... génial cette idée cela facilite grandement la mise en forme.

J'envisage de réaliser la coque avec la méthode du brochettage expliquée en détail dans différents posts mais je me pose néanmoins une question : à partir de quel niveau sur la coque faut-il commencer à l'appliquer ?

Olivier,

Bravo le bordé est superbe.

Pour le brochetage, j'avais commencé à partir de la ligne de flottaison c'est à dire des lattes en Ayous mais cela conduit à des largeurs de bordés très faible aux extrémités (env 1 mm) ce qui les rend très fragiles et interdit le clouage.

Si j'avais à refaire le Prince, je commencerais dès maintenant pour avoir un moindre rétrécissement des extrémités.

Maintenant attendons l'avis des experts.....

Cordialement,

Pour le brochetage de la proue, on procède ainsi:
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certaines virures, dont le nombre est variable en fonction de la taille du navire, ne vont pas jusqu'à l'étrave mais jusqu'à un écart sur la virure suivante. Cela permet d'éviter les extrémités trop fines. Cet extrait des plans de la proue du Royal Caroline montre en plus la méthode Anglaise, applicable sur le Prince.
Bon courage...

Merci Olivier alias Orion.

On voit que le brochetage commence à la ligne de flottaison. En réfléchissant, c'est comme cela qu'il faut procéder sinon on risque d'avoir les préceintes décalées....

Concernant la méthode suggérée pour éviter les extrémités trop fines, j'y avais pensé mais j'avais renoncé car non faisable sur un kit car les lattes sont trop étroites. En effet, on remarque que certaines virures sont plus larges à la proue que le long de la coque (flèches rouges) ce qui sous-entend qu'on utilise des planches et non des lattes de la longueur du vaisseau.

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Crdt,

Olivier,

En observant tes photos avec attention, je m'aperçois que tu n'as pas poncé la tranche des couples et des faux écubiers pour leur donner le bon profil.

Tel que, les virures ne seront pas plaquées sur les couples.

As-tu l'intention de le faire plus tard ou est-ce un oubli ?

Pour mieux comprendre ce que je veux dire, voici un lien vers le site d'Albertus qui explique ce qu'est l'équerrage.

Second petit soucis, le couple n°2 est plus bas que le couple n°3 et il ne semble pas y avoir les 2 mm de libre avec le bas de la fausse quille. Cela va te poser des problèmes lors de la pose du bordage. Il faut que tu ponces le bas du couple n°2 de manière à être à minima à la même hauteur que le couple n°3.

Bonne soirée,

Guido, je te rassure j'ai bien prévu de poncer la tranche des couples ; je l'ai déjà réalisé sur la partie haute pour la pose des 1ères lattes et il faut que je le fasse sur toute la hauteur des couples.

En revanche je n'avais pas prété attention au décalage du couple n°2 ... je vais y remédier ! Merci de ton aide.

Pour le brochetage le schéma proposé par Orion-p87 est interessant mais tu as raison Guido cela est difficilement réalisable sur un kit ; je vais faire quelques calculs avec différente hypothèse de départ pour essayer de trouver un compromis acceptable.

En bon dernier de la bande, cela avance mais doucement
La première partie du bordé est terminée et après un premier poncage grossier voici ce que cela donne ; j'attaque maintenant la partie la plus délicate en lattes d'ayous.

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Superbe coque

Bravo Olivier.

Juste une remarque : comme moi, tu n'as pas repéré l'emplacement des sabords au fur et à mesure de la pose des virures ce qui va rendre le traçage très complexe car on ne voit plus ni les lattes de support des semi-canons ni les couples .

Je te conseille vivement de le faire dès maintenant avant de terminer la pose des bordés en Ayous afin que tu puisses voir les couples qui te servirons de repère.

Si j’avais à refaire cette opération, je procéderais de la manière suivante : utilise uniquement le plan n°1 en n'oubliant pas que la vue supérieure est une projection à plat et n'est donc pas utilisable pour avoir les cotes horizontales, la coque étant courbe.

1) Tu décalques la vue à plat pour obtenir la cote verticale des sabords en prenant soin de tracer le mâitre couple (couple le central) et les ponts.
2) Pour chaque rang de canons (ou pont), tu repères, sur la partie inférieure de la vue du dessus, le mantelet du sabord le plus proche du maître couple qui servira de référence, puis tu mesures, en suivant la courbe de la coque, les cotes des mantelets de la même rangée de canon par rapport à cette référence ce qui donne les cotes horizontales.
3) Tu reportes ces cotes sur le calque et tu décales le tracé du sabord horizontalement (sans modifier la hauteur).

Le décalage sera nul pour les premiers sabord puisque la coque est droite, puis augmentera au fur et à mesure que tu t'éloignes du centre et que la courbure de la coque augmente.

Après avoir retracé les sabords, tu n'auras plus qu'à appliquer le calque sur la coque en prenant comme référence horizontale le maître couple (d'ou l'importance de le voir) et verticale le pont principal (d'ou l'importance de le faire maintenant avant que les bordés supérieurs ne soient posés).

Les autre ponts, gaillards avant, arrière et dunette du calque seront décalés ce qui est normal puisqu'ils ont été relevés sur la projection à plat, mais te serviront de repère vertical.

Il ne te reste plus qu'à pointer les emplacements des sabords au moyen d'une pointe à tracer ou d'un clou.

Ai-je été clair ?

C'est une très bonne idée Guido ; en effet il vaut mieux le prévoir maintenant tant que j'ai de la visibilité sur les couples. Tes explications sont très clairs et je m'en vais de ce pas le faire.

Très propre ce début de bordage !
Courage pour la suite des travaux !