Sandbagger sloop 1886 1/20

Ah oui ! Houla ! Houla je me cache !!!!! 

 Pas d'affolement Alain ! Il s'agit de lapin compagnonnique, et des marins chez les Compagnons, on ne peut pas dire que ça regorge.

a.piot a écrit:André , ce n'est pas avec cela que tu repousses les lapins ? 

Bah non, c'est très bien pour faire des collets pour attraper des zanimaux à grandes zoreilles.

Laurent

En fait de lapin, je viens de trouver un corbeau mort juste au milieu de l' entrée qui conduit à la maison.

Autrefois, ça pouvait avoir une signification ..... mais de nos jours ?

Etant dans une période de stress intense, ça m' interpelle un peu quand-même ....... 

Bon, le Sandbagger progresse, quant à son bordage. Pour l' instant, ça va.

J' ai donc essayé le grattoir :  c' est formidable !!!

De passage à la grande ville, j' ai trouvé un magasin de modélisme. Je cherchais des lames pour mon mini-rabot, mais pas. Du coup, j' ai acheté le petit rabot vendu par Artesania.

Au départ, il est inutilisable .  Mais en faisant un rhabillage complet et un affutage soigné au 600 de la lame, il est devenu un instrument redoutable et bien sympathique pour moins de 10 euros.

Qu' on se le dise!


Maintenant, je vais m' informer pour la finition de la coque, en poirier, donc.

On m' a parlé ici de "vernis violon".
J' ai fait des recherches, et c' est bien compliqué en-dehors d' un instrument de musique. (Entre autres le blanc d' œuf battu, reposé 12 heures, en guise de bouche-pores  )


J' écoute avec attention les différentes méthodes que vous voudrez bien me proposer.

Bonjour,
Tout simplement une couche de fondur qui donnera un aspect mat satiné en faisant ressortir las couleurs du bois.

sur une carène comme la tienne, je voit bien la méthode de bruno, à la cire et au bouchon comme sur sa Louise

Bonjour les Amis.
Merci pour vos réponses.

J' ai donc étudié un peu différentes méthodes. Le but est donc de faire une finition sans épaisseur, et faisant bien ressortir le naturel du bois.

Un point commun semble être une première phase de polissage avec garnissage des pores du bois, comme aussi celui de légers interstices éventuels entre les lattes.

En deuxième phase, ça peut être cire ou vernis, bouchon , ou tampon.

Finition cirée me conviendrait bien, mais avant, je pense retenir la première phase méthode Louise.

Toutefois, je crains toujours un peu l' usage de l' alcool avec la colle vinylique ayant servi sur la tranche des dites lattes.

Le poirier étant assez terne, je pensais les rougir un peu comme de l' acajou. J' ai fait un essai sur des chutes, mais mon épouse, que je consulte toujours pour les couleurs ( je suis daltonien) me le déconseille, trouvant la couleur rosée du poirier bien agréable.

C' est vrai qu' après grattage fin puis passage au "brunissoir", il a un bel aspect poli , ce poirier, qu' il s' agira de conserver.

Mais bon, nous n' y sommes pas encore.......

Je vais être obligé de ralentir, car nous sommes en veillée d' armes pour une opération grave et stressante de mon épouse. Vous pouvez croiser les doigts avec moi.

  Salut Mich, on est avec vous.   

Comme André, de tout cœur avec vous 
Dès nouvelles dès que possib'

Moi aussi je les croise.

Ca fait du bien, les gars, MERCI .

Je croise les doigts pour vous

De tout cœur, moi aussi.

Laurent

On croise les doigts, de tout cœur avec vous deux.

Salut Mich, je suis de tout cœur et croise les doigts pour vous deux, des nouvelles dès que possible.

Bon, pour égayer un peu le propos, je vous joins une photo pour comparaison avec la teinte naturelle du poirier.
L' essai est juste teinté acajou au chiffon doux, puis lustré à l' ongle.

Comme indiqué plus haut, je vais essayer de conserver le naturel du poirier.

     L'acajou apporte une teinte rouge qui n'est pas dans la gamme du poirier, pour quoi n'apportes-tu pas plutôt une teinte dans la même gamme, chêne clair ou merisier ?

Bonjour Mich, de tout coeur avec vous !

Bonjour Mich,

Moi aussi, je suis de tout cœur avec vous.

Je crois que je ne vais pas teinter du tout, en fait.

En lutherie, j' ai vu que c' était décoctions diverses avec blanc d' Espagne en guise de ponce, puis vernis au tampon, légèrement teinté à la demande, en X couches.

Mon prochain essai, lorsque j' aurai assez de chutes, ce sera bouche-pores et cire, pour voir.....

de tout cœur avec toi Michel
alain2

Mich15 a écrit:Je crois que je ne vais pas teinter du tout, en fait.

En lutherie, j' ai vu que c' était décoctions diverses avec blanc d' Espagne en guise de ponce, puis vernis au tampon, légèrement teinté à la demande, en X couches.

Mon prochain essai, lorsque j' aurai assez de chutes, ce sera bouche-pores et cire, pour voir.....

C'est ce que j'ai fait sur la RC, plaquée en noyer : je suis pour la finition "cuisse de Vénus", version pour adulte de la "fesse de bébé", que je traduis : deux couches bien diluées de Fondur, suivi d'un passage à la cire d'abeille sans silicone, au tampon, et enfin, de lustrage au chiffon dans le sens du bois 

Malgré les préventions de certains contre les finitions cirées, c'est ce qui se rafraîchit le mieux au fur et à mesure du temps, et qui prend une belle patine

Je précise que je n'ai pas confondu Caroline avec le bahut de la Grand'mère Cri-Cri... 

Une pensée pour vous, tiens nous informé des suites...

Moi aussi , une pensée pour vous !
Amicalement 
Alain

Je me joins à la petite bande. Bon courage à vous deux et bon rétablissement à ton épouse.

Les gens de Haute-Auvergne sont des rudes ! Je suis certain que tout se passera au mieux.
Bon courage !