Sandbagger sloop 1886 1/20

il faudrait voire avec Bruno Orsel la Louise est du même style perso je pencherais métal pour lester
alain2

tiens Mich, si ça peut t'aider, photos du dériveur Éclaireur II du port musée de Douarnenez :

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Comme Mich, si c'est un dériveur, la dérive ne sert pas de lest. Même en bois, ce n'est pas léger.

Laurent

Visiblement, sur les photos de Stéphan, la dérive est métallique.

Et pour Laurent, un dériveur peut très bien avoir une dérive métallique, ce n'est pas incompatible, j'en connais qui en sont équipés.

    Oh si, la dérive sert de lest sur un dériveur comme celui-ci, c.à d. à dérive basculante sur axe ! Il faudrait être idiot de ne pas s'en servir pour descendre le poids de l'anti-dérive puisqu'on n'a pas de quille.

    Quand elle est en métal, on la fait le plus lourd nécessaire avec une juste mesure pour que ce soit relevable le plus facilement possible ...
    Quand elle est en bois, il est courant de loger un lest de plomb dans l'épaisseur de la lame. Ça sert bien un peu de lest, mais surtout, il est vrai, à assurer la descente de la dérive.   

merci André de confirmer le lest je commençais à me poser des questions sur ma mémoire ,pour le plomb incrusté dans le bois j'ai lu sa aussi mais je ne sais pas comment c'est monté,aurais tu plus de détail ? 
alain2

Je ne remercierai pas notre Grand Sachem d' avoir soulevé un problème que je ne me posais pas .....  quoique judicieux.

Vous avez vu la démultiplication nécessaire sur l' Eclaireur ? 

Rien de tel sur ma documentation sur les Sanbaggers. Mais sur les photos, rien non-plus pour trancher la question.
Je cours aux renseignements. Si je trouve, je vous dis.

Mais je me rangerais volontiers sur l' option bois lesté pour aider à la descente de la dérive.
Sur ces dériveurs très larges, la gîte était faible, et le couple de renvoi d' un lest peu profond, sans grande influence , je pense.
Plus efficaces étaient sans-doute les "sacs de sable" , ou les hommes en course, et les sacs d' huitres au travail.
Sur les reconstitutions actuelles, on voit des personnes au rappel.

Bon, je retiens "pas de lest".

Le "Ten years After" est la réplique du " Tam O' Shanter" du musée de Douarnenez, complètement réhabilité par le fameux chantier de l' Ile aux Moines.

Voici ce qui en est dit sur le site de l' Association propriétaire :

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de mon point de vue, la dérive est en bois. Si elle était en métal, il faudrait un sacré palan pour la relever. Le lest qui doit assurer la stabilité, ce sont les sacs de sable, ou d'huitres.
En tout cas sur le mien, je l'ai faite en bois.....

J'en apprends tous les jours.

 
        Alain 42, il faudrait un palan comme celui qui est très visible sur "l'Eclaireur II". Rien de plus. Tout dépend où est placé l'axe de la dérive. Sur mon Bélouga, le palan était à un seul retour pour une dérive pivotante en métal d'environ 80Kg, je pense, je ne me rappelle plus.     

Et oui, bien-sur .... mais sur aucun des sandbaggers que j' ai recherché je n'ai trouvé un tel palan.
L' Éclaireur est un dériveur vraiment intéressant, car une évolution de ces sandbaggers, au xxe siècle naissant à la plaisance.
De-même que la Louise, clipper d' Argenteuil.

admirez le paradoxe. Ce sujet sur la dérive ne dérive pas.

"Ce sujet sur la dérive ne dérive pas"

Normal au vu des marins à bord !                     

Nounours.

Des rives de l' Ander,    le Mich vous souhaite   Bonnes Pâques   

Je suis parti à Rome. J'ai fait un bon voyage. Je ramène des œufs pour tout le monde. Surveiller bien vos jardins.

T'y as vu les cloches ?                

c'est pas pour mettre la pagaille, mais sur mon clipper d'Argenteuil, j'ai fait la dérive en métal....
Si je trouve des oeufs dans mon jardin, je les ferai à la coque, avec des mouillettes brochetées!

Serait-ce toi, le "melting pote" ?      

Miladious!!!  on ne va pas s' en sortir  !!!!

Bon, allez, on continue .

En attente de prise de colle, faute de prise de tête.




Puis, quelques coups de grattoir après  (pas pu me retenir    )







Les deux gros yeux, ce sont les passages pour installer la dérive et son axe. Ça ne va pas tarder, maintenant.

Elle est donc faite en bois, mais quelle finition et couleur ?
Style acajou, c' est trop chic, je pense ..... Sur le modèle en exemple du plan, elle est noire, mais vu la teinte naturelle de ma coque, ça va jurer.......
Aloirs quoi   

Pour ce pont, quelle finition, aussi ?
Un peu trop blanc, donc une teinte rosée pour se marier avec le reste, mais ensuite, fond-dur, vernis ..... Même un fin "régateur" issu d' un bateau de travail , fallait pas que ça glisse, ni que ça brille, j' imagine.
Un vieillissement grisé mat ? .... peut-être.
Un simple fondur égrené bien mat suffirait sans-doute.

Que pensez-vous de tout ça ?   (je rappelle que je suis daltonien plein pot, alors je me méfie, suite à des erreurs "hénaurmes" par le passé.)

Argh! ce pont! et ce calfatage! trop bien!
j'ai du zapper un détail, mais tes lattes de pont, sont-ce du tilleul?

Superbe ce pont. 

Yes, Alain, tilleul ..... lequel tilleul est tendre pour certaines, plus fermes pour d' autres, mais globalement trop blanc, donc .....

Superbe et très finement bordé ce pont. Le calfatage est tres beau. Peut-être laisser ce pont dans cette teinte comme les ponts en teck des yatchs. Donc fond dur incolore et un lissage au grattoir deux couches peut-être?

Même avis que Michel

Surtout pas de fausse teinte : en bois naturel, même un peu blanc, ce sera bien plus raffiné 

Pour le grattoir, se méfier des fibres longues du tilleul - je pense qu'un unique passage avec du fondur bien dilué devrait suffire sans autre forme de procès, et le vieillissement y fera le reste avec un peu de bonne poussière de maison ! 

Une vue d'ensemble pour apprécier les différentes teintes.

La coque et son bordage est magnifique.
Le pont est sans doute aussi beau sans aucun ajout de teinte. Il faut voir l'ensemble.

Sinon, vraiment superbe!!!

Laurent