Corvettes Descubierta et Atrevida

Bonjour Leopoldo,

Quel travail ! Et que c'est beau avec toutes ces voiles, quant à la mer on s'y croirait 
Un grand bravo pour cette œuvre d'art, d'autant que tu as tout fait, y compris les plans, chapeau 

Jean-Marie

Bonsoir.
Merçi a tous par vos commentaires

Je ne mets pas le safran car il est facile d'endommager  dans les nombreuses entrées et sorties de l'eau.

Le prince de la paix était le titre de Godoy. Le vaisseau projeté par Retamosa, comme le Montañés, était un 74 qui, heureusement, n'a pas été construit.

N'ayant pas trouvé de plans valides, j'ai fait une modeste monographie sur les corvettes en 2013. Sur la base des journaux de l'expédition et des illustrations, cela a pris 6 mois.
Puis, pendant 18 mois, j'ai fait une coque qui, au fil du temps et de nouvelle documentation, j'ai dû réjeter. Puis j'ai dessiné un nouveau plan de formes, avec le déplacement ajusté à celui qui avait les corvettes, et j'ai recommencé le modèle que l'on voit. En principe, il valait presque toute la monographie initiale, mais avec le passage du temps de nouvelles données ont été découvertes qui ont fait changer les choses, par exemple, une des embarcations, les poulaillers, la poupe, les bouteilles, et surtout le gréement.
Cette documentation est disponible pour tous ceux qui veulent faire le modèle bien qu'il soit encore en pétite évolution. Surtout la description du gréement que J'ai besoin qu'elle soit trés détaillée, Est par ce raison que je fais des montages provissoires.
En ce qui concerne la mer, je vous recommande de le faire car vous pouvez voir le bateau comme il se doit dans son environnement naturel.
Il est vrai qu'il a du travail et du coût, mais une simple feuille de méthacrylate sans pliage ou peinture produit déjà un excellent effet et ne prend pas beaucoup plus de temps qu'un piédestal[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].

Leopoldo

Tres tres beau travail de A à Z

Bonsoir
Le bordage en poirier , si bien fait comme on en est capable, est une satisfaction que je ne voulais pas abandonner, malgré l'intention de faire le doublage en cuivre. Je ne me suis pas repenti

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Bonjour
Voila quelques photos de l'épave d'une frégate qui se trouve dans l'arsénal de San Fernando ( Cadix, Espagne)[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Bonjour
 La méthode suivie est copiée de Pierre Corbières dans MRB, et de Bernard Frölich dans "L'art du modèle naval"

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Hola Benito

de toute beauté ...

Un travail propre et educatif

Chapeau Maestro

Feliz tarde

Pura Vida

@+Dominique

Bonjour, Dominique.
Bien merçi , mon travail n'a ni la propret Le plus long est de faire les matrices, j'ai dû rejeter le premier jeu. Le reste est facile, et cela ne prend que deux semaines à la mi-temps. Aprés un mois une centaine de plaques se sont detachés et j'ai du les encoller au cyano. Je crois que le ruban de  cuivre etait vieillard.

Bonjour Dominique
Bien merçi , mon travail n'a ni la propreté ni la precisition de le vôtre, mas j'aime partager.
Le plus long est de faire les matrices, j'ai dû rejeter le premier jeu. Le reste est facile, et cela ne prend que deux semaines à la mi-temps. Aprés un mois une centaine de plaques se sont detachés et j'ai du les encoller au cyano. Je crois que le ruban de  cuivre etait vieillard
Buena tarde

Tres bien

Bonne nuit.
J'ai mis quelques images de comment j'ai construit le pont. Il faut d'abord dessiner les baux, s' ils ne viennent pas dans le plan il est facile de les placer, ils sont sur les bords des écoutilles, et le reste est intercalé.
Dessiné le plan de la couverture, je le passe au contre-plaqué de 0,8 mm.;  cela servira de support, et dans lequel j'ai figuré la disposition des planchettes avec leur courbure et leur décroissance, je n'en dessine qu'une sur trois  et encadre où iront les raccordements.
Le système Monfeld est absurde, les clous ne seraient pas sur les baux dans de nombreux cas. J'ai mis une bande de bristol noir sur les bords, que j'ai profilé avant de le coller.

Leopoldo

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Bonjour,
quelques images

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Leopoldo. Catalogue des monographies ANCRE en espagnol:

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Bonjour Leopoldo,

Belle réalisation, c'est précis on sent une longue habitude.
En plus j'adore la qualité de tes dessins, je pense que tu pourrais te lancer dans la fabrication de kits à en faire pâlir AL 

Bon week-end.

Jean-Marie

Bonjour Léopoldo,

Tout a fait de l'avis de Jean Marie...
Félicitations

Alain, je suis en partie responsable
Jean Marie et Didier. Merci pour vos commentaires. La fabrication d'un kit n'est pas pour moi, je suis très vieux. Savez vous que le prix de production d'un kit est le sixième de son prix de vente?. Cela explique certaines choses, pas toutes.

Bonjour.
Je dois mettre les deux canons du pont de ma corvette amarrés au pavois.
Je sais comment cela se fait dans les canons dans lesquels la brague traverse des trous dans les flasques (Volume IV de Boudriot V-74) mais je ne sais pas comment on faisait cet amarrage dans les canons dans lesquels la brague fait un tour au bouton de la culasse.
J'ai fait une hypothèse dont j'ai mis quelques images simplifiées. Qu'en pense-vous?


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Hola Leopoldo

A ver si esto te sirve ....

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Feliz noche

@+Dominique

Hola Maravilla celeste.

Le premier dessin est un affût à la française qui ne correspond pas à la demande.

Les deux photos suivantes ne collent pas non plus. Leopoldo dit: quand la brague fait un tour autour du bouton de culasse. Ici, le système d'amarrage est crocheté sur l'anneau Blomefeld. 

Pas sûr que les canons des corvettes qui partent en expédition en soient déjà équipés. L'anneau de Sir Thomas ne sera homologué par la RN qu'en 1790, bien que dans la pratique, il soit déjà plus ou moins entré service. Les Espagnols l'adoptent très vite, contrairement aux Français toujours à la traîne.

Merci beaucoup, Dominique et Alain.
Ce matin, j'ai reçu une réponse qui me semble valable d'Alejandro Yáñez, qui n'est pas dans le forum à cause de l'ignorance de la langue, mais qui est un spécialiste de Nepomuceno.
En effet, l'anneau de Blomefeld en Espagne est quelques années plus tard.
Je vous souhaite une bonne journée.
Leopoldo
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J'ai vu ce matin une gravure similaire du marquis de la Victoria dans la Artillería de García-Torralba (page 416), mais je ne l'ai pas retenue parce que le canon est à la serre et non en position horizontale comme Leopoldo l'a dessiné. D'autre part, je me suis dit que la première chose qu'avait fait Leopoldo, c'était de consulter le García-Torralba.

J'ai cherché chez Lavery, Gardiner et dans les Anatomy of the Ship, il n'y a aucune représentation de ce type. À la serre, en vache (abretonado), oui, mais pas comme le souhaite Leopoldo.

Le plus réaliste me semble ce que l'on voit sur les photos, à condition de modifier la brague, soit avec une épissure autour du bouton, soit en lui faisant faire un tour complet. Historiquement, les deux systèmes sont attestés.

Merci, Javier et Alain. L'amarrage en batterie est pour moi déjà résolu, en vue de la Victory avec quelques ameliorations.
Mais ce n'est pas important maintenant. Selon García Torralba, la corvette naviguant comme dans mon modèle doit avoir fermé tous les sabords de la batterie, ce qui serait un désastre après le travail qu'il a été effectué et aussi pour la vision du navire.
Je pense avoir des arguments pour garder les sabords ouverts, mais pour le moment il y a un doute.

En principe (anglais et français), ces petits bâtiments ont un seul mantelet à pentures pour fermer le premier sabord. Il n'est pas armé. Quand on chasse, on déplace le canon n°2. Ce faisant, le sabord est fermé en permanence pour éviter d'embarquer de l'eau.

Par gros temps, on installe des faux-mantelets.

Rapporté à nos corvettes, l'opinion de García Torralba se tient. Un bâtiment d'expédition n'est pas destiné à combattre, sauf mauvaise rencontre. En l'occurrence des pirates, puisqu'il jouit auprès de nations belligérentes, d'une sorte de statut de neutralité. Que son artillerie défensive soit à la serre, sabords fermés, toujours pour éviter d'embarquer de l'eau, c'est cohérent.

A contrario, la batterie a besoin d'être aérée et éclairée. Les panneaux à caillebotis ne laissent passer que peu de lumière, les lanternes, on s'en méfie à juste raison et les chandelles sont du consommable. Rien ne vaut la lumière du ciel pénétrant par les sabords.

La seule rectification que je ferais, c'est de fermer le premier sabord avec jn mantelet à pentures.

En accord total, il était prévu de fermer le premier sabord de proue et tout à sous-le vent.
Cette corvette est un peu différente. L hauteur de l'eau de la batterie est plus petite, environ 30 cm.`que  celle d'une corvette de guerre. Il reste le seuillet à 1,37 m. de l'eau. C'est la raison des mantelets de sabord
C'est comme ça à cause du concept de la corvette, son petit tirant d'eau nécessaire pour s'approcher des côtes diminue sa stabilité, c'est pourquoi la batterie est abaissée.
L'entrepont ne peut pas accueillir l'équipage donc il dort et vie sur la batterie, est la raison du pont couru.
Mais en fait la ventilation est déficiente et Malaspina s'inquiète de la santé de l'équipage depuis le début.
García Torralba dit que les mantelets doivent être fermés et les canons à la serre pour deux raisons. Le danger d'entrer beaucoup d'eau dans un coup de gite et la convenance de porter le poids des canons vers le centre pour diminuer le roulis.
Je soutiens que 1,37 m. n'est pas peu, que les mantelets sont fermés sous le vent, que le navire est censé naviguer loin de la côte et que l'inertie de son armement réduit de 12 canons de six et de deux de quatre est moindre même s'ils sont portés à l'extérieur que la de 22 canons de  huit et quatre de quatre qu'elle porte en guerre, bien qu'ils soient à l'intérieur.
Merci pour la contribution
Leopoldo

Avec tous ces arguments, el sistema Leopoldo est adopté â l'unanimité.