Fabrication de l'Hybride, navire déstiné à être mis en situation sous la machine à mater

Je pense que si l'on arrêtait de vouloir montrer notre peu de science , ce serait plus cool ( bon c'est de notre âge , on oublie les rhumatismes et autres ) 

Bonjour Michel, Alain, et les autres,

Je suis tout a fait d'accord avec vous, c'est pourquoi, je demande plus haut de bien vouloir arrêter là les polémiques. Je respect André, et n'ai rien contre lui, que sa façon d'intervenir.

Alain P à tout à fait raison en disant qu'il faut arrêter de vouloir montrer notre peu d'expérience. Il n'y a pas de maitre absolu, et chacun possède son ou ses propres maitres.

Pour en revenir à ce bateau (Le pauvre à défaut d'eau, il fait couler beaucoup d'ancres d'encre. Jean-Lucien m'a offert le meilleur compromis à mon avis. Seul le mât de hune de grand perroquet sera cassé. Il ne figurera pas sur la maquette, on imaginera que ce dernier et tombé à l'eau, et a disparu.

Donc, il faut que je refasse le grand mât, et que je le rééquipe. Tout ça m'arrange un peu en définitif, car plus besoin de se poser la question du sens de chute du grand mât. De plus, je vais pourvoir installer les étais, et diverses manœuvres courantes. Cela rajoutera un peu de véracité sur l'ensemble.

Voilà pour illustrer mes propos, une photo de ce que cela pourrait être.

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Je disait plus haut que je ferai disparaitre le mât, prétextant qu'il pourrait être tombé à l'eau. Seulement, en le cassant, j'ai essayer de tirer sur les haubans pour leur faire subir le même sort. Alors là, y comme un problème. Cela est impossible, au moins à cette échelle de les faire se rompre.
Alors voilà la question. On laisse le mât, et on l’arrime du mieux possible afin qu'il ne puisse plus bouger jusqu'au port ? Ou l'équipage coupe les haubans pour se débarrasser du mât, au risque d’endommager d'autres parties du bateau en le faisant tomber ?

Ta solution n'est pas mauvaise, mais ne justifie plus la machine à mâter, seuls les bas mâts sont mis en place avec la machine à mâter les perroquets le sont à partir des bas mâts en passant par le chuquet.

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Pierre

Merci Pierre. Si c'est le mât de hune qui est cassé, y a t-il besoin de la machine alors ?

il eu mieux valut que ce soit cassé sous la hune sinon comme dit pierre pas besoin de la machine.

Après une rupture violente d'une partie du mât, on n'aurait pas tendance à changer tout?

Evidemment, c'est une vision très moderne de la réparation des choses, mais c'est aussi une assurance que le bas mât ne cassera pas au 1° coup de vent.

Laurent

Effectivement Laurent, cela pourrait être aussi une solution. L'on peux considérer que les trois mâts aient subit des dommages, et qui va valoir reprendre dès le grand mât. J'enlève le mât de hune de grand perroquet, je simule des avaries sur le mât de hune et sur le grand mât. Je figure des réparations provisoires de fortune et je demande le changement de toute la hauteur de mât. Ou alors, en dernier lieu, je supprime complétement les mât dès l'emplanture de fond de cale, et je présente un nouveau grand mât suspendu à la machine et en cour de pose. Bon bah ça, c'est ce que voulait faire au début.

Tu peux garder artimon et misaine et changer le grand mât, celui-ci peut avoir cassé sans avoir tout démoli.

Pierre

Comme Pierre, gardes l'artimon et misaine tels qu'ils sont. Ils t'ont demandé pas mal de travail et c'est très réussi.
Pour moi, il vaut mieux garder l'idée de dépose du mât que la repose du nouveau: l'urgence qu'il ne finisse par casser.
Pour une repose, on pourrait imaginer facilement que voiles et vergues auraient été démontées et les mâts descendus. Pour l'Hermione, c'est 2 à 3 jours de travail, et il n'y a pas forcément un mât disponible dans l'arsenal.

Laurent

Au-delà des pratiques en cas de casses, les fortunes de mer ont dû offrir un contingent très varié de destructions. Il est plus que probable que le choix arrêté soit imaginable. L'état du vaisseau dépendait aussi du pacha, de l'équipage, de la mer...etc. Vouloir s'arrêter à un soi-disant modele idéal me semble relever de la quête du graal.

Bonjour à tous,

merci a vous pour vos commentaires.

Donc, voilà. L'Hybride est attaqué par des pirates, voulant voler la marchandise qui est à bord. Un tir de canon endommage le grand mât, sans le faire tomber. Heureusement pour le bateau marchand, un navire de guerre Français surgit à point nommé et fait fuir le pirate. Par contre, les dégâts bien que mineurs impose la dépose du grand mât. Pour rejoindre le port, une réparation de fortune est posée afin de consolider le mât et permettre le retour du navire d'une façon sécurisée.
En attente du nouveau mât, les gabiers, charpentiers, et autres ouvriers sont dans la mâture afin de descendre tous les espars. Le grand mât est soutenu par les cabestans de la machine pendant ce travail.
Voilà comment je vois les choses. Cela parait-il plausible ?

Pirates ou anglais !

De la discussion jaillit la lumière.
Tu peux aussi faire la repose du mât avec le mât cassé sur le quai à coté de la machine.

Pierre

Bien entendu les deux mon capitaine, des pirates Anglais.

Je pense qu'en présentant la dépose du mât à son tout début, me permettra de donner toute une vie autour. Les bonhommes dans la mâture et dans les cordages en train de couper ou démonter les divers cordages. Des hommes aux cabestans, des maitres d'équipages en train de beugler les ordres, tu vois, tout un petit monde. On peux même imaginer la dépose des vergues par des systèmes de poulies prise directement sur les mâtures des deux autres mâts. Et puis, mer.e pour les conventions, ce que je veux, c'est donner vie à ce diorama. A voir, en tout cas, merci de l’intérêt que toi et les autres accordent à ce projet.

Tu as toujours su mélanger harmonieusement réalité et part de rêve. Continue ainsi pour ton plaisir et le nôtre.

Merci Alain pour tes considérations. Le rêve n'est-il pas la porte de ce que l'on voudrai que soit la réalité ?

J'ai réalisé une réparation de fortune sur le grand mât. Nous disons donc qu'un boulet l'a touché. Des dégâts important en résultent, sans toutefois être assez conséquent pour briser le mât.
Quoi qu'il en soit, les dégâts sont quant même assez important pour obliger au remplacement de ce dernier.

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Des renforts ont été posés tout autour du mât. Pour les maintenir en place, un cerclage de fer a été installé en haut et en bas de ces renforts. Pour consolider le tout, des cerclage de corde ont étés ajouter sur la hauteur des renforts. La vergue de grand perroquet à été amenée sur le pont, débarrassée de ses marche pieds et de sa voile avant d'être elle aussi posée en renfort. Cela devrait tenir jusqu'au port.

Bonjour à tous,

Les températures étant devenues plus clémentes, j'ai réussi à finir la mature. Maintenant, la suite va consister à reprendre la construction de la machine à mâter afin de concilier les deux en un seul projet. La suite donc, sur la machine à mâter de Brest.

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Bien entendu, des finitions restent à faire, mais cela sera fait en temps voulu.

Il a de l'allure, l'Hybride. Sous la machine, cela fera un diorama splendide.

très chouette!

c'est un feuilleton sympa qui reprend.

Pierre

Quel plaisir 

Laurent

Content de te retrouver; vivement la suite de l'aventure!

Bonjour, et merci à tous

La suite va être la reprise de la construction de la machine à mâter.
Ayant trouvé de nouveaux éléments, cela va pouvoir ce faire maintenant.
Donc, rendez-vous, pour ceux que cela intéresse sur le poste de la machine à mâter, au cours de la semaine.

bonjour Michel je continu à te suivre, j'espère reprendre le matage de mon brick goélette dés les beaux jours, bonne journée à tous Jean Lucien

Bonjour Jean-Lucien,

C'est avec le plus vif intérêt que je suis moi aussi la construction de ton ouvrage sur cette goélette. C'est vrais que l'arrivé des beaux jours va commencer à nous remotiver. Pour ma part, depuis le décès d'Alain F et le temps d'hivers, la motivation n'avait un peu abandonnée. Mais bon, allez les gars, la main dessus...