Reconstruction de la Niña au 1/48 (Christophe Colomb - 1492)

moi je colle tout à la colle blanche, et en prenant de la bnne colle D3 et en la laissant s'aérer avant de le presser, le temps de presse est limité, des élastiques font l'affaire, et surtout cela reste démontable au cas où ! autre avantage, la colle blanche n'imprègne pas le bois, et la teinture ultérieure n'est pas affectée comme avec la cyano

Le collage du bois à la colle vinylique a du bon surtout pour la pérennité du modèle. Réserver la cyano pour les petites pièces et les points de tenue avant collage classique.

Préparation de la plateforme avant : le bau recevra un jeu d'équerres de renfort :

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ça avance tranquillement et dans le bon sens .
Que dire?
on avance ,on avance ,on avance.....

Je reviens un peu en arrière, précisément au message d'Alex du 22/04/2020 à 22:02 :

La hauteur des pavois me parait courte quand je vois le faux pont en place. Je me trompe peut-être et ce n'est qu'un effet d'optique.

Hélas non, pas d'illusion d'optique... Après avoir avancé dans la construction, et comme je m'en doutais depuis notre discussion sur la hauteur des pavois, j'ai décidé d'ajouter une virure pour éviter à Marin Malin de finir à la baille au moindre clapot 

Le naïf que je suis s'était dit qu'en partant du plan d'un expert reconnu, et armé du compas, de la règle, aidé de patrons, et sous le contrôle de la trigonométrie, ce chantier serait un long boulevard tranquille... Et bien non, Pastor ne diffère pas du kit Lambda, il se projette n'importe comment, la géométrie dans l'espace n'est pas non plus sa cup of tea...   

J'ose espérer mieux tomber la prochaine fois, quoique tout ce qui précède l'âge de l'impression 3 D est du coup frappé de suspiscion, il n'y a pas apparemment d'exactitude dans le tracé crayon-gomme de grand-papa 

Je posterai les photos de la correction après séchage des prothèses...

albertus a écrit:moi je colle tout à la colle blanche, et en prenant de la bnne colle D3 et en la laissant s'aérer avant de le presser, le temps de presse est limité, des élastiques font l'affaire, et surtout cela reste démontable au cas où ! autre avantage, la colle blanche n'imprègne pas le bois, et la teinture ultérieure n'est pas affectée comme avec la cyano

Bonjour,C’est vrais qu’il n’y a pas que des avantages à employer de la cyano surtout  pour un modèle  où on laisse  le travail du bois apparent.En ce cas, mieux vaut gratter à mesure de l’avancement sur travaux pour ne pas avoir de mauvaises surprise au final. Pour se faire, mieux prévoir une sur épaisseur de 5 petits dixièmes pour un fini irréprochable. Le Prix à la longue est un autre inconvénient non négligeable.je n’en retiens que la spontanéité d’utilisation comme avantage.

Autre désavantage : la cyano se casse facilement et ne tient pas bien à la chaleur, c'est d'ailleurs en la chauffant qu'on peut décoller les inévitables repentirs

Je ne l'utilise plus que pour coller du métal sur du bois, genre ornement en laiton ou provisoirement les pentures de safran, le temps de les clouer

Mes ennuis de placage étaient uniquement dus au bois de tilleul utilisé à défaut d'autre chose en cette période, autrement la colle blanche est de loin la meilleure possible

Le patient a été opéré, il attend le passage du Docteur Dubois en salle de réveil  :

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Prochaine étape : une petite greffe de plat-bord, qui promet d'être assez poilante...

Bonjour Christian

Le Covid semble en retrait si les opérations de chirurgie esthétique reprennent   

En attendant que la prothèse de planche cicatrise, je m'intéresse à la remontée de l'ancre de cette Niña

Le moins qu'on puisse dire, c'est que la jurisprudence est flottante : on a Pastor qui indique l'emplacement d'un petit bâti de guindeau placé contre la poulaine, et WzM qui montre pour la même époque un petit cabestan constitué d'une poutre carrée verticale percée de trous étagés en hauteur destinés à recevoir les différents bras

Lequel a raison ? A noter que la défunte A. L. avait mis un guindeau, mais comme elle positionnait aussi quatre gros tonneaux de pinard sur un berceau à même le pont pour meubler un peu le vide, et des échelles dignes du parc Astérix, je reste assez dubitatif...   

Alors, guindeau ou gain de pinard ? Euh, non, guindeau ou cabestan ? 

Cabestan. J'avais déjà, bon vieillard, répondu à cette question le 10 avril à 11h12. Mais dans l'intervalle, Aloïs est passé poncer ta mémoire à l'abrasif grain 40.

Voici le résultat de la séance de rectification des pavois, Marin Malin pour visualiser :

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Demain, je m'attaque aux plat-bords 

Alain Degny a écrit:Cabestan. J'avais déjà, bon vieillard, répondu à cette question le 10 avril à 11h12. Mais dans l'intervalle, Aloïs est passé poncer ta mémoire à l'abrasif grain 40.

Entretemps, j'ai été pollué par une Niña de l'ère Artesania latina 

Peut-être serait-il bon de coller d'abord les jambettes qui rendraient moins accrobatique le collage du plat-bord en offrant davantage de surface de contact.

Bonne idée, que je vais suivre... Merci 

Super les photos avec le marin malin ! Merci Christian

Essais de jambettes, laquelle préférez-vous ? 5 x 2 mm ou 5 x 4 à plat ?

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Pour saillir d'un petit mm sur la muraille, la jambette de gauche sur la dernière photo aurait
besoin d'un plat-bord de 4+2+2 = 8 mm, avec épaisseur de 3 mm, ce serait une vraie poutre
impossible à cintrer transversalement pour chapeauter la muraille vers l'étrave : ça promet !

Je n'ai pas fini de lameller-coller du tilleul... 

on dit qu'elle a ,des belles gambettes ....c'est vrai!!! on dit qu'elle est super chouette ...c'est vrai !

Entre une vrai résistance et un plaquage cosmétique, la réponse est évidente.

a plat, sans hésiter, mais moi j'aurais sectionné la lisse blanche et je n'aurais pas fait 'encoche dans la jambette. Jambette que je trouve malgré tout trop large

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Les jambettes sont beaucoup trop larges et trop proéminentes.

En 3 x 3 mm, qui sera aussi la dimension de tous les renforts extérieurs de la coque :

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Vous noterez l'apparition des joints du pont qui a suivi le séchage complet du bois...

Pfff...ça devient "pointu" la suite ton montage  
Heureusement qu'il y a un matelot qui "veille au grain"  
Mais non,sans rire,tu fais un sacré montage

Curieuse impression : le plan Pastor montre des renforts horizontaux qui
ressemblent à ceux que l'on retrouve habituellement sur des chaloupes :

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Entre suivre le plan (figure 2), et installer des équerres verticales
sous la poulaine (figure 1), j'hésite avec une préférence pour le 1

Il me semble que c'est le plancher qui doit être renforcé pour ne
pas bouger, plutôt que la coque elle-même, qui n'en a pas besoin

L'institut Pastor ne prévoit pas de courbes de baux, ni verticales ni horizontales. je viens de relire tout le bouquin et comme cela fait treize ans que je n'ai pas bu une goutte d'alcool, mon niveau d'éveil ne saurait être mis en doute.

3 m, c'est correct pour les jambettes. C'est ce que prévoit le même Pastor au 1/50e (pour la Santa Maria).

Merci mon cher Alain, sans courbes, les baux seront donc plus simple à ajuster

Toutefois, la photo ci-dessous était à l'origine des questions posées cet an-ci :

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J'atteste aussi ne pas avoir sacrifié à la dive bouteille avant cette publication 

Ou bien c'est un problème de terminologie (ce ne sont pas des courbes de baux)

Pour l'instant, j'en suis provisoirement arrivé à ce qui figure sur ces deux photos :

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