Construction du "Sovereign of the Seas" au 1/84 par Glénans

Mille huit cent trente six nœuds juste pour les bats-mâts. Ensuite il y aura les mâts de hune et de perroquets. J'espère que tu continueras à nous faire part de tes avancées dans la mise en œuvre de la théorie des nœuds, c'est passionnant.

Je ne me souviens plus si tu as prévu de mettre les voiles, au vu de ces images je pense que ce serait un peu dommage, ça cacherait ton travail. Mais cette opinion n'engage que moi.

Oui, bon, mais par rapport aux 500 000 nœuds au m2 d'un tapis persan, c'est de la rigolade.

Bonjour Alain,

Merci pour ton point de vue fort sympathique sur la "légèreté" de mes noeuds et de mon travail !

A bientôt.

Bonne après-midi.

Bonjour Patrice,

En effet, cela fait "quelques" noeuds et comme tu le dis, ce n'est pas terminé. Mais je les compterai aussi, pour avoir un total qui risque d'être intéressant !

Je ferai, éventuellement, quelques photos sur la manière de faire les noeuds des "hauts" !

Je pense que j'installerai les voiles qui sont fournies. Tout comme l'avait fait "Papykaki". Et ce sera, encore, une nouveauté pour moi, ce genre de montage !

A très bientôt.

Bonne après-midi.

Re-Bonjour Alain,

En effet les noeuds d'un tapis sont noué en très grande quantité.

J'ai eu la chance de voir la fabrication de tapis à Srinagar, au Kashmir, il y a 51 ans, où des enfants, d'une douzaine d'années, assis à croupeton par terre, faisaient ces noeuds dont les fils, de différentes couleurs, étaient coupés à une longueur précise, en suivant les informations écrites sur un bout de papier placé dans la trame au dessus d'eux et en psalmodiant ce qu'ils lisaient.
Intéressant, mais, pour nous les européens, c'est triste de voir ces enfants travailler si jeunes. En tout cas c'était du très beau travail.

A plus.

Bonne après-midi.

C'est le travail des enfants qui a valu au peu reluisant personnage des Misérables de s'appeler Thénardier. Victor Hugo, député, demanda que sa durée journalière soit réduite à 12 heures. Louis-Jacques Thénard, Pair de France et chargé de l'Éducation, s'y opposa. Rancunier, Totor lui a offert la célébrité que l'on sait.

Plus léger. Touristes mais pas naïfs, ma femme et moi savons bien que Babar ressent un irrépressible besoin de se baigner, dès que les habitants du village typique Hmong entendent la lointaine pétarade du long tail boat et que les Shuars amazoniens rangent leur pagne rouge au vestiaire pour renfiler leurs jeans dès que le mini-car des Toutous a repris la piste. 

Mais on peut encore être surpris. Village laotien. Bruit du car. Les femmes ont une soudaine envie de tisser. Pour jouer le jeu, nous leur achetons deux/trois pièces, cela ne nous ruine pas. Le soir à l'hôtel, notre groupe fait un pot et nous invitons notre guide, très sympa. Je lui reparle de la visite et de notre achat "solidaire". Ah mais, me dit-il, ce ne sont pas elles qui les tissent. Elles les achètent en Chine !

Bonsoir Alain,

Tu as tout à fait raison dans ce que tu écris, et cette vente de pièce chinoise "made in local", si je puis me permettre, ne m'étonne plus à l'heure actuelle. Et comme pour beaucoup de choses, c'est la Chine, toujours la Chine, et un peu d'Inde ou d'Asie du Sud-Est !!!

Par contre en 1970, on était moins envahi par les touristes et on trouvait encore des zones pas trop atteintes, comme, par exemple les "Bouddhas de Bâmiyân" où il fallait pas loin de 8 heures pour faire les un peu plus de 200 km dans une Peugeot 404 en 1970 ! Il n'y avait pas foule d'étrangers et, je pense, plus du tout depuis 2001 date de leur destruction par les talibans, hélas !

A très bientôt.

Bonne soirée.

Sans vouloir le moins du monde me faire l'avocat du diable, quoi que, il faut quand même reconnaître que la Chine a été une très grande civilisation lorsque l'Europe n'était, pour faire court, qu'un salmigondis de brutes épaisses et que l'on lui doit un nombre non négligeable d'inventions. Devrait-on donc y voir un juste retour des choses ?  

Mais ceci nous éloigne du modélisme naval bois in genere, et de la construction du Sovereign of the Seas in peculiarem  ...

Pas tellement, Votre Immensité Cosmique. Je rappelle que les marines occidentales doivent aux Chinois de la dynastie Song, le gouvernail à safran (de surcroît relevable), les proues en marotte de dériveur avec amortisseur de tangage, les dérives latérales, improprement attribuées aux Hollandais (ce sont les marins de la VOC qui ont importé le concept de Chine), l'ancêtre des pompes à chaines et les compartiments étanches qui, chez nous, devront attendre le XIXe siècle.

Le SotS aura donc bénéficié du gouvernail made in China.

Bonjour à tous les deux,

Je connaissais les inventions des chinois (en plus de la poudre et des feux d'artifice !), mais pas les compartiments étanches.

Merci pour l'info.

A plus.

Bonne après-midi.

Alain Degny a écrit:... Le SotS aura donc bénéficié du gouvernail made in China ...

De là à me faire un Marin Malin à l'effigie d'un des soldats de Qin Chi Huang il y a un pas que je ne franchirai pas. Quoi que, une figurine de Zheng He, ça pourrait valoir son bol de riz cantonnais. Mais je m'égare. Mea culpa.

Bonjour à tous,

Je reprends le gréement de mon "SotS" en continuant avec le montage selon les informations du fascicule n°116 !

Donc je vais réaliser le trélingage pour les 3 mâts.  

Il s’agit d’un filin qui relie les haubans de tribord avec ceux de bâbord. Cette ligature doit être fixée aux quenouillettes situées en haut des haubans. Il faut les placer à l’extrémité arrière des haubans. Il faut tendre ce "bout" afin que les haubans, donc les quenouillettes, soient parallèles.
Une fois fixés et bien parallèles les haubans - quenouillettes, il faut simplement ligaturer les extrémités.

Ce devrait être relativement simple, mais il faut travailler debout et les bras en l’air : C’est sportif !!!

Donc, j’avais besoin de 3 bouts de fil marron de 0.5 mm (le même que celui des haubans) qui seront ligaturés par du fil écru de 0.15 mm (celui des enfléchures). Pour cela, j’avais des bouts de ce fil marron qui me restaient du montage des haubans, d’une taille d’environ 100 - 110 mm.

J’ai donc passé ce fil marron de 0.5 mm à l’extrémité arrière des quenouillettes en le passant dessus et dessous cette pièce de bois entre les 2 dernier haubans (carré rouge) :

 - Photo DSCN13529-bis :

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J’ai fixé un côté avec un point de colle (superglue), puis j’ai tiré, légèrement, sur le fil de l’autre côté, où j’ai pratiqué de la même manière le positionnement.

Il est impératif que les haubans - quenouillettes soient bien parallèles. Pour cela j’ai donc mesuré la distance à l’avant et il fallait que l’arrière ait la même mesure. Je bloquais la boucle du fil avec une pince, avant d’y mettre un point de colle.

En final, je faisais une surliure de 10 tours (nœuds compris) avec le fil écrus de 0.15 mm d’environ 11 cm de long. Les nœuds en début et fin de la ligature sont des nœuds de cabestan (Eh oui, une fois de plus !).


Voici quelques photos pour illustrer ce que j’ai expliqué ci-dessus :

Le passage du fil à travers les haubans du Mât de Misaine à l’extrémité arrière de la quenouillette :

 - Photo DSCN13519 :

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Le résultat de ce trélingage des haubans du Mât de Misaine (les bouts de fils en trop sont coupé au ras) :

 - Photo DSCN13520 :

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Voici le trélingage des haubans du Grand Mât. Le côté bâbord est terminé et je commence la surliure du côté tribord avec le premier nœud de cabestan (carré bleu) :

 - Photo DSCN13521-bis :

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J’obtiens ceci sur le Grand Mât :

 - Photo DSCN13522 :

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Même travaux pour le Mât d’Artimon. Le nœud à gauche et la surliure sont terminés de même que le nœud à droite qui est en cours (cercle bleu).
Cependant, le côté tribord n’est pas encore fait, mais la boucle est collée sous le fil, donc les quenouillettes sont bien parallèles :

 - Photo DSCN13524-bis :

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Le premier nœud de cabestan avant la surliure du côté droit du trélingage du Mât d’Artimon (cercle bleu) :

 - Photo DSCN13525-bis :

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Tout cela pour obtenir ceci sur le Mât d’Artimon !

 - Photo DSCN13526 :

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En final, une vue d’ensemble des 3 mâts avec les travaux effectués :

 - Photo DSCN13527 :

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Ce fascicule n°116 sur 135 est terminé et je vais passer au suivant où j’aurai autant de travail avec les haubans des hunes !

A très bientôt, je l’espère, pour la suite.

Bonne journée.

Les haubans de hunes te prendront moins de temps. Les vergues, par contre, c'est du boulot en perspective.

Encore de la belle ouvrage. J'ai l'impression que tu avances tranquillement mais sûrement.

Bonsoir Alain,

En effet, les haubans des hunes étant moins nombreux, ce sera un peu plus facile ! Sauf pour le dos et les bras suspendus en l'air et dans le vide !

Pour les vergues, je serais obligé de sortir les outils spéciaux pour les traiter : Vaste sujet !

A plus.

Bonne nuit.

Bonsoir Patrice,

Merci pour tes félicitations.

En effet, je fais ce travail tranquillement, mais surement, d'autant plus qu'il va y avoir un nouvel arrêt de quelques mois très prochainement !

A bientôt.

Bonne nuit.

Bonsoir ,
beau travail
je ne savais pas que les trélingages existaient à cette époque
Michel

Bonsoir Michel,

Merci pour ton sympathique point de vue.

En effet, j'ai regardé sur différents bouquins parlant des navires de cette époque, et pratiquement tous présentent les trélingages.

Je pense que c'est nécessaire, car il faut que le haut des haubans via les quenouillettes doivent être parallèles sinon, ils en forme de "V" vers l'avant.

A bientôt.

Bonne soirée.

Bonjour à tous,

Je me lance dans les opérations du fascicule n°117 (sur 135) avec la mise en place :

 - D’abord des gambes de hunes dans les hunes inférieures des 3 mâts !
 - Puis, ensuite, les enfléchures de ces gambes et haubans !
 - Et, enfin, je monterai les haubans de la seconde section des 3 mâts !


J’ai donc de quoi m’occuper un petit peu !!!

J’ai commencé par la peinture des cap-de-moutons de 4 mm de diamètre, teintés en noir avec du brou-de-noix concentré, comme je l’avais fait pour ceux des haubans.

Voici une image bien sombre ! J’en ai profité pour peindre les autres cap-de-moutons du fascicule n°117.

 - Photo DSCN3862 :

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Ensuite, pour le moment, j’ai coupé 30 segments de fil marron de 0.5 mm avec une longueur d’un peu plus 110 mm.

Petit détail : Comme les extrémités ont tendance à se "débobiner", j’y ai mis une pointe de colle !

J’en ai profité pour fabriquer le petit outil nécessaire pour aligner les "cap-de-moutons" lors du montage des haubans.

Pour l’obtenir, j'ai utilisé une baguette de bambou (utilisée pour les bordés) de 300 x 5 x 2 mm dont j’ai coupé un morceau d’environ 20 mm de long.
Puis j'ai planté 3 clous (du stock qui a servi pour fixer le bordé) de chaque côté, en triangle avec une distance entre les 2 clous extrêmes, de 15 mm. Je me suis servi d’un cap-de-mouton pour bien aligner les trous :

 - Photo DSCN13595-bis :

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Ce petit outil me servira, aussi, pour tenir et bien positionner les cap-de-moutons quand je les sertirai pour les gambes de hunes et pour les haubans.

Je le fixe sur mon petit étau et je travaille sans trop de soucis !

 - Photo DSCN13584 :

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Voici les 30 gambes de hunes pour les 3 mâts, dont voici le décompte :

 - Mât de Misaine : 2 fois 5,
 - Grand Mât :        2 fois 6,
 - Mât d’Artimon :   2 fois 4.

 - Photo DSCN13587 :

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Il faut insérer les fil dans les trous ménagés sur les côtés des garde-corps des hunes inférieures.

 - Photo DSCN13588 :

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Pour les passer, j’ai élargi, un peu les trous à 0.8 mm, et rien de tel qu’utiliser un enfile-aiguilles comme présenté ci-dessous (carré bleu) :

 - Photo DSCN13600-bis :

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Pour qu’ils tiennent bien droit, j’ai mis une goutte de colle à bois au pied des surliures (cercle bleu).

Puis je les ai passé sous les quenouillettes des haubans, en faisant en sorte qu’ils soient équidistants les uns des autres et bien tendus. Les voici simplement disposés :

 - Photo DSCN13590-bis :

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Enfin il faut les fixer avec un fil noir de 0.15 mm.

J’ai utilisé des segments de 10 cm de ce fil noir pour avoir suffisamment de longueur pour travailler correctement.

Donc, pour bien les tenir, j’ai tendu les fils et les ai fixés avec un point de colle (superglue), avant la surliure qui est traitée avec 1 nœud (demi-clé) au début, au niveau de la quenouillette, avec, toujours, la goutte de colle, puis 5 tours et le nœud de cabestan en final, avec, encore, sa goutte de colle !

J’obtiens ceci, avec la hune bâbord du Mât de Misaine :

 - Photo DSCN13599 :

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J’ai continué avec la hune de Misaine tribord, dont voici le passage du fil (carré rouge), avant le premier nœud :

 - Photo DSCN13603-bis :

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Voici le résultat, du mât de Misaine tribord, avec les 5 gambes de hune et cap-de-moutons installés des 2 côtés :

 - Photo DSCN13610 :

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Comme j'étais sur le côté tribord, j’ai continué avec le Grand Mât, dont voici les 6 pièces montés :

 - Photo DSCN13607 :

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Et enfin voici les 4 gambes de hune du Mât d’Artimon :

 - Photo DSCN13609 :

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Je vais continuer avec les 2 dernières installations des gambes de hune du Grand Mât et du Mât d’Artimon bâbord.

Je vous les présenterai plus tard.

A bientôt.

Bonne journée.

Super Boulot Bertrand !

Je me répète mais il a beaucoup d'allure, ton SotS.

Bonsoir Alain,

Merci beaucoup pour tes félicitations. C'est très plaisant !

Concernant l'allure, je pense aussi que c'est une très belle maquette, même s'il y a des défauts historiques qui seront peu visibles pour les béotiens qui viennent à la maison !

A bientôt.

Bonne soirée.

doucement mais surement !
Michel

Bonjour Michel,

EN effet, lentement mais surement ! Mais il faut reconnaitre que c'est un épisode très répétitif et assez long à traiter !

Mais j'arriverai au bout de ce montage. Le seul point je ne sais pas quand !!!

A bientôt.

Bonne après-midi.

Bonjour à tous,

J’ai terminé l’installation des gambes de hunes avec leurs cap-de-moutons. Voici les images correspondantes :

Je vous ai présenté ci-dessus (il y a quelques jours), celles installées à tribord sur les 3 mâts ainsi que celles du mât de Misaine bâbord (les premières que j’ai montées).

Je vous expose, rapidement, 2 images avec les gambes installées du côté bâbord du Grand Mât et du Mât de Misaine.


Le Grand Mât avec ses 6 cap-de-moutons :

 - Photo DSCN13623 :

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Et le mât d’Artimon avec ses 4 cap-de-moutons :

 - Photo DSCN13622 :

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Il ne me reste plus qu’à installer les enfléchures sur ces gambes. Je vous les présenterai, plus tard.



Maintenant quelques clichés des haubans des 3 mâts avec une amélioration ! 

Vous avez dû voir, depuis qu’ils sont installés, des bouts de fils qui se trouvent au pied des supports de cap-de-moutons, le long de la coque ! 

Ces fils sont les extrémités des bouts servant à étarquer les haubans, comme le sont les ridoirs actuels. 

Je les avais laissés jusqu’à maintenant, dans le cas où j'aurais eu besoin de retendre certains haubans. Pour cela, il me fallait défaire le nœud de cabestan pour pouvoir faire le nécessaire : Je l’ai fait 3 fois, pour un petit réglage de tension !

Ayant terminé ces installations, j’ai retiré ces fils, en resserrant les nœuds de cabestan, et en ajoutant un point de colle (superglue), pour éviter qu’ils se détendent dans le temps, et j’ai coupé, à ras, le fil en trop.

Voici les images avant et après du côté tribord :

Le Mât de Misaine :

- Avant :

 - Photo DSCN13611 :

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Après :

 - Photo DSCN13616 :

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Le Grand Mât :

Avant :

 - Photo DSCN13612 :

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Après :

 - Photo DSCN13615 :

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Et le Mât d’Artimon : 

 - Photo DSCN13613 :

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Après :

 - Photo DSCN13614 :

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Je trouve que le navire est beaucoup plus présentable comme cela, n’est-ce-pas ?

Voici encore 2 photos avec une vue plus large du côté bâbord :

L’avant :

 - Photo DSCN13620 :

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L’arrière :

 - Photo DSCN13621 :

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Voilà où j’en suis pour le moment.

Donc, prochaine étape, comme je l’ai écrit un peu plus haut, mise en place des enfléchures dans les gambes.

A bientôt.

Bonne journée.

Il est tellement chargé de décorations que l'œil ne prêtera sans doute pas à des erreurs dont je pense que le kit est responsable. Il y a des rides qui passent devant des sabords et donc neutralisent les canons.

Bonsoir Alain,

Ce que tu écris, est tout à fait vrai ! Mais c'est, surtout, de ma faute qui n'ai pas assez tenu compte des emplacements des canons au niveau du premier pont, et de la mise en place des cap-de-moutons, ce qui fait qu'il n'y a pas assez d'espace, surtout au niveau de la proue où au moins 1 canon risque de tirer dans un hauban, sauf s'il est un peu décalé vers l'avant !

Mais il n'y a que nous, les connaisseurs, pour nous rendre compte de ces erreurs de montage. 
Les amis, béotiens, lors de leurs visites, ne se rendent pas compte de ces problèmes, d'autant plus qu'il y a trop de choses à voir !

Merci pour ces réflexions.

A bientôt.

Bonne nuit.