Fabrication de l'Hybride, navire déstiné à être mis en situation sous la machine à mater

michel rosensohn a écrit:Merci de vos réponses. Elles vont m'être très utiles.

Je t'ai envoyé un MP, pour tout autre chose, mais tu ne sembles pas l'avoir lu...

   A Alain Degny,
    
   C'est une question, très cher.  

   Tu dis " ... C'est plutôt une façon anglaise  ..." ce qui laisse supposer qu'on peut la rencontrer aussi sur des constructions françaises. Je ne sache pas que ça ait jamais été employé chez nous, et je te demandais un exemple, si tu en avais.   

    Un petit lavis que j'ai eu à restaurer,du peintre brestoâ Gilbert, élève d'Ozanne. Une petite doc rare de plus.   

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Éric a répondu un peu plus avant. On trouve le système sur les négriers pour les raisons qu'il donne et sur quelques bâtiments au commerce. Sur les navires de guerre, les canots sont toujours posés sur bers, dans la grande-rue. Les faux-baux transversaux à l'anglaise, courants sur leurs bâtiments de guerre vaisseaux et frégates, présentent l'avantage de dégager le pont et l'inconvénient de devoir mettre les embarcations de bord à la mer à l'approche du combat avec, à bord, un ou deux matelots pour pouvoir les piloter si la remorque venait à être rompue.

            Je parlais de navires de guerre !
            Au commerce, dont les négriers, tout peut se trouver.

            Même sur chantiers, le Français mettaient les canots à l'eau dans les combats.

Merci pour vos explications et commentaires. En ce moment, je ne suis pas très présent chez, hormis tôt le matin et en soirée. C'est pourquoi, je n'ai pas pu répondre plus tôt. Le problème qui se pose maintenant, c'est pose t’ont l'embarcation sur ber, ou sur baux ? ou alors cela est sans importance ?

 Ça n'a pas d'importance, puisque tu tiens à l'installer, et qu'elle n'y était sûrement pas !

La dernière image que je viens de te poster à 0929 h te montre qu'il y a de la viande à bord, mais à part ça, rien ne dépasse. Tu fais donc au mieux de ce qui meuble le plaisir de ton esprit, sachant que la réalité n'était pas celle-là.    

une petite précision s'impose car André nous parle de viande .
Il ne s'agit pas de quartier de boeuf mais tous simplement des gars présents à bord.
Ce lavis est magnifique André ,j'envie le propriétaire.
Il est vrai que la chaloupe  à bord est sans doute improbable .Pourquoi ne pas la mettre le long de la muraille du négrier?
Il y aurait une sorte de différence de taille entre les deux ce qui serait chouette à mon avis.

   Comme toi, Mikeal, je l'ai tellement envié qu'une fois tendu et remonté en sous-verre, avant de l'encadrer, je l'ai gardé deux ou trois mois sur mes murs. Je connaissais bien le proprio, hein !   

Merci à Koz Bag pour cet intéressant manuscrit. Il est très achalandé, et surtout très utile pour expliquer les diverses manœuvres d'équipement d'un navire.
Pour le navire, il m'est venu une idée. Ce bateau, ne sera pas en phase de mâtage, mais au contraire en phase de démâtage. Les mâts, ainsi que tout l'équipement du navire seront tous en place, le grand mât aura quant à lui une avarie qui oblige son remplacement. La scène sera donc le moment où, les cordages de la machine à mâter sont mis en place pour l'enlèvement.
Donc, mât cassé, avec toutes ses manœuvres en place, mais forcément détendues.
Il me reste à trouver des documents représentant ce genre d'avarie sur un navire.

"Ce bateau, ne sera pas en phase de mâtage, mais au contraire en phase de démâtage"
Voila une idée qu'elle est bonne comme idée.

Fabrication de la hune de grand mât

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jottereaux et traversières entaillés à mi bois.

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Le plancher de la hune est constitué de deux couche de planches. La première dans le sens des élongis,

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vue de dessous.

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La deuxième couche dans le sens des traversières.

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La hune finie. les hunes seront peintes en noir

 mais c'est toutpitit 

Hola Michel

Excellent travail

@+Dominique 

Bonjour Dominique, René, et aux autres,

Effectivement, c'est tout petit (on est au 100e). Le plus dur ceux sont les rambardes. Si je prend du fil à l'échelle, il n'y a pas moyen de le rigidifier d'une façon efficace. J'ai donc pris du cuivre de 0,5. Il n'y à qu'a partir de cette dimension que cela commence à se tenir.

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Voilà deux hunes de faites. Celle du grand mât, et celle de misaine. Je me pose maintenant la question de savoir s'il faut que j'en fasse hune une pour l'artimon. Je vais regarder ce qui ce fait sur des navires de cette taille.

tu as bien fait de prendre du cuivre , ça prend forme ton affaire , bravo

Tout pitit ou alors tu as une fausse pièce 

Bravo et courage pour la suite.

Laurent

Pour rigidifier du fil laiton de 2 ou 3 dixièmes, il faut en prendre environ 10 cms que tu pinces dans un étau d'un coté et dans le mandrin d'une mini perceuse de l'autre.

Faire tourner doucement la perceuse tout en tirant légèrement pour que ce soit droit, au moment où ton fil casse il est rigide.

Pierre

Bonjour,

Oui, Laurent, c'est une fausse pièce, elle est deux fois plus petite qu'une vrais.
Merci Pierre pour nous rappeler cette astuce des plus pratique. Seulement, c'est ce que j'ai fait, et ce n'est qu'avec du 0,5 mm que les batayoles avaient une résistance telles qu'elles pouvaient êtres utilisées.

Parce que tu a utilisé du cuivre.

Pierre

Effectivement, j'utilise du cuivre. Ce sont des chutes de tout diamètres de fil électrique, ou téléphonique. Le laiton se tiendrait-il mieux ?

"Ce bateau, ne sera pas en phase de mâtage, mais au contraire en phase de démâtage"
Voila une idée qu'elle est bonne comme idée".

Je partage entièrement l'avis de René sauf qu'il faut IMPERATIVEMENT changer le titre en
"Fabrication d'un navire déstiné à être mis en situation sous la machine à démâter" na

Et les deux erreurs sur les hunes, personne ne les a vues? Bon. Cela prouve au moins que Michel n'aura pas à refaire.

Le jeux des deux erreurs est ouvert.
Je propose donc :  1 manque la traverse dans l'ouverture.
                            2 manque l'ouverture pour le passage des étais.

mais c'est juste pour le jeu car je ne suis pas spécialiste.

Ça, ce sont les dommages collatéraux.