USS Confederacy de 1778 par Model Shipways au 1/64

C'est marrant, la saisie était figée, et quand j'ai copié le texte, abandonné, rouvert puis collé dans la fenêtre, il a crée cet intitulé avec le segment où se trouvait le curseur au moment où la saisie s'est bloquée

La suite, vous avez vu...

En plus, je n'avais rien remarqué 

Salut cricri
J'ai eu le cas aussi, pas assez noir sorti du bain etvapres nettoyage.
J'avais passe un petit coup de ponçage doux puis nettoyage à l'acetone comme dit Bernard, et nickel.
Par contre comme dit Jean pascal, moi je passe le brunisseur au micro onde pour chauffer le bain et ça marche encore mieux.
Bonne continuation

Oui c'est ce que je fais avec ma solution maison,ammoniaque + chlorure de sodium,le tout au bain marie.
La chaleur accélère l'oxydation.

Voilà la dernière version, je vais en rester là, compte tenu de ma fatigue visuelle :

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Merci encore à ceux qui m'ont apporté leur aide !

Christian a écrit:Merci encore à ceux qui m'ont apporté leur aide !

Tu nous arrêtes quelque temps, ou tu nous quittes?
Soigne bien tes yeux et à plus.

Non, je voulais juste tirer un petit coup de chapeau à ceux qui me suivent  

Là, je vais pouvoir revenir au façonnage des pavois qui est moins tuant pour les yeux, le problème étant que ça dégénère en migraine ophtalmique à répétition si je vise trop longtemps avec des loupes, mais le plus dur est fait, à part les affûts des canons, qui vont me mettre encore à rude épreuve : vous aurez vu que je ne me prénomme pas Daniel...

Pose de la ligne nervurée de séparation au niveau des pavois du gaillard d'arrière :

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Aujourd'hui, j'ai regardé la batterie : quatorze sabords, dont seulement sept sont garnis de mantelets (ceux qui sont sous les gaillards)

Alors, pourquoi y a-t-il des feuillures sur tous les sabords ?

Quelle solution adopter ?

Quand je pense au boulot qui a été fait sur ces feuillures en suivant le manuel pour construire autour de ces sabords...

J'avoue que je ne vois pas quoi faire de ces feuillures inutiles...

Autre curiosité : lors de la construction, on se rappelle que j'avais mis le premier sabord de proue au même écartement que les autres par rapport au deuxième, et pour éviter de sectionner une allonge de couple à cet endroit

Et bien, sur le plan de profil, je vois que c'est ma solution qui a été tracée, mais alors, du coup, je ne comprends plus comment on va pouvoir caser l'ancre contre le bordage, ni comment le mantelet qui est dans le virage a la même largeur sur la projection plane de l'élévation de la coque que le suivant, placé parallèlement à l'axe du navire, ni comment il se retrouve exactement à la même distance du suivant que tous les autres...

Éternel problème : jamais de dimensions, que du dessin en projection (ou pire, de la photo), donc faux, à défaut de disposer des cotes exhaustives de tous les objets...

Bon, on va bricoler, comme d'hab... 

Les sabords sous les porte-haubans ne sont pas accessibles et nécessitent des mantelets sur charnières. Les autres doivent disposer de mantelets volants:
"Que l'on appelle également faux-sabord. C'est un assemblage de deux pièces de bordage réunies par deux traverses et percées au diamètre de la volée du canon. Ils sont placés dans la feuillure du sabord et immobilisé par quatre crochets passés dans les pitons des cotés des sabords" -G. Delacroix-
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J'ai terminé les pavois de gaillard d'arrière des deux bords, avec une symétrie correcte :

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Aujourd'hui, je vais faire les mantelets des deux sabords de charge avant, et les deux de la Grande cabine, que j'ai décidé de présenter désarmés, donc en position fermée...

Hier, j'ai pu profiter de la lumière du soleil pour ébaucher et peindre la rambarde du beffroi :

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Domage que tu ai peint cette rambarde cricri il y avait quelques imperfections dans les formes.

A priori, elle était construite pour se superposer exactement au plan, sauf la jambe extérieure à bâbord, qui s'était gauchie avec la peinture à l'eau, que j'ai donc redressée (facile, tous les bas étaient chevillés exactement en laiton invisible, il suffisait alors de les retordre :

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Vérification faite, elle se superpose désormais exactement sur le plan, sinon, pour le reste, je ne vois pas

J'ai bien fouillé pour trouver des coussins d'écubier dans la boîte : je n'en ai pas vu, il va donc falloir que je m'en fabrique une paire avec le bon vieux système D

Nouvelle vérification faite : j'avais un défaut d'horizontalité du bau qui portait la rambarde et le beffroi, ce qui ne se voyait pas sur la superposition de la pièce avec le plan, mais comme la règle de calcul du bouge des baux n'aboutit pas à un arc de cercle, le déplacement du centrage du bau entraînait une inclinaison de celui ci sur l'horizontale, que j'ai corrigée en remplaçant le bau par un autre, bien centré... 

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Ensuite, j'ai préparé les bittons principaux du grand mât   : comme je ne peux pas mettre de tenon par dessous à cause des réas qui entaillent la base, j'ai prévu de les placer en haut, entre le bau et la tête, ce qui va me permettre de démonter cette partie au moment d'installer les pompes et les canons :

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En attendant, rien n'est encore collé définitivement pour pouvoir faire de la place

Et pendant tout cela tu prend la peine de te pencher sur le travail des autres. Bravo.

Dans cette position les tenons ne sont pas vraiment nécessaires. Par contre la peinture est en cours je pense!
Continue bien,

Daniel.B a écrit:Dans cette position les tenons ne sont pas vraiment nécessaires. Par contre, la peinture est en cours je pense ! [...]

Les tenons servent à solidariser les composants puisque ces modules doivent rester démontables pour la pose des affûts des canons

Pour la peinture, trois couches d'acrylique bien diluée, et finition à l'acrylique satiné mat pour uniformiser l'aspect des objets peints (les déformations visibles sur les diverses photos résultent du zoom Samsung) :

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La décomposition en différents modules n'est pas prévue par le manuel, mais elle m'a parue plus logique pour éviter de tacher les ponts, et permet de suivre un ordre logique des opérations, dont l'absence est le défaut principal de la méthode préconisée par l'auteur

Voici le planing de la suite :

01 - Passages d'écubiers : il n'est pas impossible que je me contente de les peindre en noir, les essais de perçage du tilleul avec les rives apparentes étant problématiques (échardes visibles) selon mes essais...

02 - Grande rambarde du gaillard d'arrière

03 - Bitton d'artimon (celui que les Américains appellent Misaine)

04 - Pentures des mantelets des sabords de charge et de grande cabine, qui resteront fermés

05 - Anneaux du pont de batterie (bonjour le nombre... )

06 - Filets décoratifs des pavois texturés au tarabiscot

07 - Bouteilles y compris croisées

08 - Tableau arrière y compris décoration et croisées

09 - Le gros morceau, chiant par excellence : les canons gréés sur affûts (24 au total)

10 - Collage définitif des baux

11 - Ajout de tous les traversins

12 - Finition des vaigrages et pose des plat-bords, le tout dans la charte de couleurs de l'ensemble

13 - Texturage au tarabiscot et pose de la grande herpe

14 - Finition de la proue y compris le caillebotis de poulaine

A noter pour finir que dix jours après l'annonce de l'expédition d'une nouvelle figure de proue, celle-ci n'est pas encore arrivée : vous devinez ce que pourra donner le fameux Brexit le moment venu pour les futures commandes de provenance UK...

Avec Constructo, en Espagne , c'était deux jours

Fait attention avec la peinture que cela ne fasse pas "jouet plastique". Les couleurs doivent être un peu plus éteintes qu'au naturel.

La grande rambarde est ébauchée :

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Pour la peinture, le vernis satiné acrylique renforce quand il est frais, mais il va rapidement affadir le contraste, c'est du moins ce qui est arrivé pour le noir des pavois qui est devenu rapidement assez terne, et qui est le même que celui que j'ai passé tout à l'heure sur le beffroi

Si on regarde attentivement, le même effet existe pour l'ocre rouge entre le vaigrage qui a déjà vieilli et les pylônes, qui sont frais

Salut Christian,
J’aime beaucoup la rigueur de ton montage. Par contre je rejoins Michel. Je ne maîtrise pas du tout la mise en couleur à la peinture acrylique et c’est la raison pour laquelle je me garderais bien de la mettre en œuvre. Pour autant, et pour ce que j’ai vu sur les différents sites sur le net, une petite patine me semblerait heureuse...
A très vite.

Quand il sera fini,, et comme le prototype de Chuck Passaro, il restera très peu de couleur encore visible, et l'ensemble paraîtra même assez terne, faute de couleur des bois

Sur une peinture d'époque, voici les couleurs dont était revêtue la Confederacy :

Grande rambarde du gaillard d'arrière peinte, plus que le bitton du mât d'Artimon :

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Sur la peinture d'époque, les couleurs sont beaucoup moins criardes que sur les photos que l'on voit sur le net, je préfère nettement.
A plus.

Sauf, peut-être, sur la reconstruction de l'Hermione, qui me paraît aussi riche en couleurs que pauvre en ornements, presqu'une américaine d'adoption, en quelque sorte, mais qui va vite se patiner, je pense...

J'ai touché hier la nouvelle figure de proue, qui a déjà reçu ses trois couches bien diluées de couleur bois, et j'ai passé la première couche d'ocre rouge sur les deux pompes de cale, munies des tenons habituels :

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