Jean Jacques SERRIS, remorqueur au 1/25e.

Bonjour à tous,

Voici enfin le croc de remorquage du J.J.Séris fabriqué en véritable bois d'arbre français.....
Les galets de guidage dans le rail ne vont pas être gros.....
Je ne comprends toujours pas ce nombre de points de rotation possibles....Enfin il doit bien y avoir une bonne raison !?!?

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Le bonjour te va Pive,
il faut quand même reconnaitre aisément que ce croc de remorquage réalisé est vraiment sublime de détails.
Merci.

Merci Michel !
L'adaptation au rail va être un grand moment. Le support des galets est en cours, quant aux galets eux-même......
Je suis toujours dans l'expectative sur ce nombre de points de rotation.....sans aucun doute utiles.....
Cordialement,

Re bonjour,
merci de me répondre,
pour cela il faudrait pouvoir contacter un professionnel de la partie.
Mais Alain pour l'AAMM est peut-être en contact avec ce genre de pro dans le musée de la marine.
Tu sais j'ai beau essayer de le mettre en défaut, jusqu'à ce jour je n'y suis pas arrivé, et pourtant je le connais depuis  beaucoup plus de 10 ans. 
Au fait as-tu cherché dans google : tout sur le croc de remorquage d'un remorqueur.

Moi, j'aimerai bien savoir comment est réalisée cette magnifique finition!

Re Michel,
J'ai été sur internet mais je n'y ai pas trouvé mon bonheur......
Le seul truc que j'y ai pioché c'est le fait que mon croc n'a pas de décrochage rapide malgré le fait que TOUS son proposés avec..... A l'échelle, cela devient très difficile, ou alors une "figuration" du système....A voir plus tard....Et puis, quand il sera à 10 mètres en navigation, on ne verra plus rien !!!!
J'avais mis mes espoir chez Michael qui semble de la partie...mais peut-être est-il au boulot donc loin de son ordi.....!?!?
Bernard, il n'y a pas de finition spéciale...! d'ailleurs ça manque un peu de ponçage. Juste du bois avec quelques gouttes de cyano pour renforcer là il y a plus beaucoup de matière et une couche de peinture.....

Non non , j'observe et je m'interroge également sur les fameux points de rotation.
La seule réponse que je vois c'est la souplesse.

ça monte ça descend ,ça va à droite , ça va à gauche.

Lorsque la Mer forcit , un remorqueur se doit de parer aux tensions extrême de la remorque.
imagine toi sur de mini montagne russe.

un croc trop rigide serait synonyme de casse.
Toujours est il qu'il est trés bien exécuté.

Comme mes camarades Michel et Bernard , je dis :"Bravo!"

Merci, Michael, de ton commentaire !
Reste, que pour mon esprit cartésien, la quantité de points de rotation possible doit induire autant de possibles points de faiblesses d'où augmentation des risques de rupture......
Je ne veux pas imaginer le cout d'un tel appareil quand on parle de centaines de tonnes de traction......! Très gros chèque garanti !!!!
Quand on voit l'usage prévu, on comprend mieux la nécessité du décrochage rapide au cas ou.....!

Bonsoir Pive
Voilà une photo du croc du Saint Gilles à La Rochelle

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Si je compare avec ta 1° image, il te manquerait même une articulation!!
Donc de gauche à droite:
- l'axe de rotation au plus près de centre de poussée de la coque. Ca limite les effets sur l'assiette du remorqueur
- la barre de jonction avec le galet. 2 assemblages plus que des articulations. Ca permet de rattraper la différence de hauteur avec le rail.
- l'axe vertical, absorbe les variations d'angle de traction le temps que le galet se déplace sur le rail (le croc reste donc toujours bien aligné avec la remorque)
- l'axe vertical, lui absorbe les variation dans l'autre plan à cause de la houle.

C'est ce que j'imagine comme fonctionnement, c'est pas du tout mon métier

Laurent

Bonjour à tous,
Laurent merci pour la photo que je ne connaissais pas. Une de plus pour montrer la nécessité d'avoir de la "souplesse" sur ces crocs de remorquage.
Ok pour le premier point de rotation (axe vertical) donc liberté sur le plan horizontal, ensuite on distingue, soudé sur le premier, ce qui pourrait être un autre axe (en position horizontale) mais qui n'aurait aucune utilité de mouvement puisque le bras est guidé par le(s) galet(s) dans le rail et n'a donc pas de latitude de mouvement vertical.....
Comme tu le dis cette "barre" est en fait un assemblage de deux bielles fixées sur des tourillons qui n'ont donc pas de vocation de donner du mouvement.
Ensuite, on trouve la "tête" du croc montée sur un axe horizontal qui lui donne la possibilité de bouger dans le plan vertical. Et ça s'arrête là....
A noter, que lors de la prise de photo, que le croc était en position ouvert....tandis que le mien restera définitivement fermé quelque soit la météo ou la hauteur de la houle.....Décision étant prise d'oublier le système d'ouverture d'urgence (mes doigts et mes yeux ont carrément voté non !!!)
Hier pas de grosse avancée et encore moins cette fin de semaine, mon amiral m'ayant trouvé du boulot.... juste deux petits trucs réalisés....un placard et un radar pour le futur mat...

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J'avais loupé ton message et donc ta question. J'aurais fait la même réponse que Michael. Il faut que le croc puisse suivre tous les mouvements de la mer pour solliciter la remorque le moins possible.

Le bonjour vous va Tertous,
que d'explications intéressantes pour mon pauvre cerveau.
Un conclusion s'il en est : j'aime !

Fais comme moi, Michel. Achète un bocal de neurones neufs sur Amazon. C'est comme la cocaïne, on les aspire en s'enfilant un tube dans la narine.

Bonjour,
Comme je prévois la peinture des éléments du château avant montage pour plus de facilité et que la matière première manque, petite avancée du week-end sur les bombards que je considère maintenant terminés....

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Ne mégotons pas sur la sécurité.

Faut surtout pas hésiter!! surtout quand c'est prévu au plan....

Important ces petits détails 
Laurent

Espérons qu'ils n'aient pas à servir mon cher Pive